Pieter A. Namanchaiyakul
Dying is easy, young man
Living is harder
ft. Noah Czerny
((The Raven Cycle))
Nom Namanchaiyakul
Prénoms Pieter Aran
Age 19 ans
Surnoms Pieter
Orientation sexuelle non-renseignée
Groupe Civil
Ce qu'il pense de la situation à Astrophel il s’en fiche totalement. Il a vu les combats à la télé mais n’a pas vraiment d’avis dessus, il sait juste que l’assurance maladie de sa mère chez un Sponsor pais partiellement ses soins.
Métier //
Nationalité américaine
Taille 1m74
Poids 55k
Cheveux blond platine
Yeux marrons, très foncés
Particularités physiques il a l’air délavé, frêle, délicat. Ses bras sont parsemés de bleus et ses joues de fossettes.
Style vestimentaire des couleurs ternes, du tissu propre, rien qui attire l'attention.
Emmenez-moi au bout de la terre, emmenez-moi au pays des merveilles
il me semble que la misère serait moins pénible au soleil
Caractère
✄ Un.
Sans dessus dessous. Un kaléidoscope d'émotions, une boule de nerf, un amas de rage. Pieter respire la colère. Pieter inspire la colère.
Pieter vit de frustration.
Pieter soupire sa vie et rit vide.
Pieter existe.
Pour mourir.
✄ Deux.
persévérer dans l’ignorance. Mort avant d’être né. Pieter est vide. Pieter est plein. Pieter complète ses creux avec ce qu’il voit, bouche ses fissures avec ses mains d’enfants.
Pieter a grandi
Trop vite
Trop seul
Sans voir le temps le défigurer
Pieter victime, Pieter bourreau;
Pieter s’accroche aux autres
Pour ne pas être seul
Dans sa douleur
Dans sa noirceur
Pieter a peur
Du noir
✄ Trois.
Soleil noir. Emotions distantes et si bouillantes. Colère brûlante. Larmes évaporées sur ses lèvres sèches. Pieter enfant. Pieter dépendant.
De la nature.
De la chaleur.
Du genre humain.
Du contact qu’il a manqué.
De la terre qu’il n’a jamais effleuré.
Pieter a apprit
A aimer
D’un amour volatile.
✄ Quatre
enlacé les doigts dans la terre. Lavage de cerveau. Prince oublié. Petit prince sur sa planète lointaine. Seul dans sa tête attendant qu’on le comprenne.
Que ce n’est pas lui.
Qu’il n’a pas demandé
A être comme ça
Qu’il voulait vivre
et parler
et aimer.
Qu’il ne sait pas
n’a jamais su
comment communiquer.
Parce qu’on lui a dit
A Pieter
C’était pas grave
Parce qu’il sera seul dans sa tombe.
✄ Chute.
tendre enfant. Pieter aimant. Pieter violent. Brûle pour se sentir vivant.
Pieter rejette pour proteger
Pieter blesse pour s’abimer
Et rester seul
Parce qu’à la fin
Il sait.
Pieter a peur
Si peur
D’etre seul.
Pieter s’en veut
Sans doute
Un peu.
Pieter aurait aimé
Aimé rester
toujours
avec eux
Mais ils ont dit que ses souffles étaient comptés
Alors il reste en apné
jusqu’à s’étrangler
Encore un peu.
✄ Impact.
Douleur plaisante.Pieter dort.
Et ses cauchemars
L’habitent.
Le démon se lève.
Et sa frêle vie
S’effrite.
enfant-bulle - grâce aux avancées technologiques, il peut sortir - il parle six langues (anglais, thai, espagnol, coréen, chinois, japonais) - comme il a eu très peu de contact humain, il a du mal à communiquer - naturellement anxieux et très curieux - on le pense suicidaire mais il veut vivre à fond - grande culture générale - intrigué par la nature - parle aux plantes - il écrit énormément, autant pour calmer sa frustration que comme un loisir - il a eu des contacts sur internet - il a tendance à répondre par du sarcasme froid - lit beaucoup et peint un peu - très peu tactil habituellement - Il a peur des microbes et a une légère OCD - si c’est sain ou que ça passe outre son OCD, il devient très très tactil - tout le temps frustré et facilement en colère - il se fatigue extrêmement vite - on ne lui donne pas plus de 22 ans à vivre
Histoire
Condamné.
On l’a condamné avant qu’il soit né.
Parce qu’il mourra avant de respirer.
On l’a enterré avant qu’il ouvre les yeux.
On lui a dit, à Pieter, que c’était pas grave.
Un jour tout ira mieux.
Quand ça, maman?
Quand ton corps pourra se protéger seul.Il a espéré longtemps
Il a attendu
et jamais
ce jour n’est arrivé.
J’aimerais marcher sur la plage
Grimper des montagnes
Courir dans les parcs
J’aimerais sentir le soleil sur mes paupières et le vent contre ma peau.Il en a écrit des pages
de rêves
à oublier.
A travers la vitre il observe ce monde
qui a l’air si près.
Les oiseaux sur son balcons qui le regardent.
Les enfants dans la rue qui l’ignorent.
Ses parents derrière lui qui pleurent.
Pieter assis
qui attend
pour vivre.
Il étouffe.
Il s’étrangle dans sa maison trop vide
Où les plantes semblent plus vivantes que lui.
S’il s’en occupe bien, elle vivront longtemps.
A sa place.
Puisque personne
ne l’arrose.
Les roses se fânent
Pieter panique
même gorgées d’amour
tout peut mourir
Pieter se noie.
Dans ses larmes et sa frustration,
il ne veut pas mourir avant de connaître le monde.
Il veut vivre la vie comme on lui a raconté.
Il veut sentir la pluie
toucher la neige
respirer.
Pieter se fâne
son coeur ralenti
même sans être vivant
il veut mourir.
On lui a dit qu’il était condamné.
On lui a dit
Si tu sors, tu peux tomber mortellement malade.
Et alors? Je suis condamné.
Autant en profiter.Alors il a poussé la porte.
Et après dix-neuf ans
il a commencé
à respirer.
Né sans défenses immunitaires - son père est medecin et sa mère est haut placée chez un sponsor, il a donc une bonne assurance médicale et peut-être une chance d’aller mieux - il grandit chez lui avec internet comme seul contact avec le monde et des études à domicile - il comprend vite qu’il ne sortira jamais mais se plaît dans sa condition - jusqu’à ce qu’il ait réellement envie de sortir et qu’il se rend compte comme c’est facile de mourir - commence à sortir sa frustration sous forme de colère - le voyant dépérir à dix sept ans, ses parents lui font prendre un traitement plusieurs années qui lui permet de sortir de chez lui et minimiser sa maladie
derrière son écran...
Pseudo misha
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