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Il paraîtrait que le fondateur de la ville Edward Astrophel aurait été le descendant direct de Diogène, le philosophe grec qui vivait dans un tonneau. Incroyable !
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FUCK OFF // ft. romeo
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Carvel & Son (super)
Junko D. Gotô
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Carvel & Son (super)
MessageSujet: FUCK OFF // ft. romeo   FUCK OFF // ft. romeo EmptyLun 6 Aoû 2018 - 18:10

J’suis pas d’humeur.
En fait j’suis même de carrément mauvaise humeur. Du genre à manger des gens. Entiers.
J’suis d’une humeur absolument catastrophique, donc. Je dors pas super bien dernièrement, j’ai le cœur aussi gros qu’une pastèque, et le moindre regard est susceptible de me rendre cannibale.
Seiren me manque.
Bordel ce que j’étais prête à faire pour elle - prendre sur moi, grandir, bosser sérieusement entre autre chose. J’en dormais plus de ses secrets et du monde que je voulais lui rendre plus léger, et au final, au final elle m’a abandonnée. Elle y pouvait rien, Seiren ; elle est partie, protégée d’un monde qui détruit. Elle est partie, partie, partie ; et j’suis plus qu’une pauvre naufragée, qu’une amputée - il me manque un morceau de moi.
Mais le monde, l’univers entier, il en a rien à carer.
Et Carvel&Son n’échappe pas à la règle. C’était qu’une employée pour eux, même pas un nom central même pas une étoile montante ; une vilaine lambda. La preuve : elle est pas irremplaçable. Mais moi, moi je sais pas bosser sans elle, moi, je sais pas me coordonner avec quelqu'un d'autre.
Si c’est pas Seiren, alors je préfère encore être toute seule.
Bah ! Va leur faire comprendre ! Ils s’en foutent là haut pas vrai ?
(Je suis fatiguée…
d’avoir le cœur brisé)
Alors non j’suis pas agréable ni avenante ; hé, je fais une putain de vilaine là. Je dévisage Creep avec autant d’inintérêt que d’agressivité, j’crois que ça illustre bien la situation.
Ça va être folklo.

***
MAIS BORDEL, À DROITE !
Putain mais il a écouté les indications ou bien ? Creep il porte bien son nom putain ! C’est le pire, le pire vol du monde. Déjà on a bouffé la discrétion - ouais non on l’a violée à ce stade - ensuite on a récupéré que dalle, et enfin, on a rameuté tous les supers du quartier.
Non mais
S U P E R
Bon ok j’ai peut-être un peu merdé également, j’ai peut-être pas été très coopérative. Mais c’est lui qui comprend rien aussi ! Il en fait qu’à sa tête ! On est censé bosser en concert, pas faire son truc chacun de son côté !
Un calvaire.
On va se faire chopper à ce rythme. “LA PORTE BORDEL ! À. DROITE.” Je me retourne et balance une droite ; merde le mec il-
Aïe
Bordel une peau dure comme du béton armé, c’est Reine version mec ou bien ? Je peux pas le taper sans douiller et-
PUTAIN
Il fait mal ce con ! Je fais une roulade, plus le temps de gueuler - attends il est où ? Ah ça y est il l’a pris sa putain de porte de merde !? J’ai donc juste à trouver un moyen d’évacuer les lieux (et de lui péter la gueule après) go. Ça va le faire. Souviens toi des plans (mdr) ça va le faire. Si j’arrive à dévier la force des chocs… là vers ce mur… après je saute et je fais fluctuer la gravité sur moi… go. Ptdr j’y crois vraiment ? Je me repose sur mon pouvoir depuis quand ? Wanna die.
Allez Creep, j’te rejoins au QG ça va mal se passer.
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MessageSujet: Re: FUCK OFF // ft. romeo   FUCK OFF // ft. romeo EmptySam 1 Sep 2018 - 22:21

Ils se foutent de ma gueule.
Le monde entier se fout de ma gueule.

J’comprends pas leur délire, là-haut : c’est ma mort, qu’ils veulent ?
Non, parce que, j’dis ça, j’dis rien, mais ils sont plutôt bien partis pour ; j’ai l’impression d’les enchaîner, les tarées qui m’regardent comme si elles allaient me bouffer.

D’abord Blast.
Aujourd’hui, toi. Equinox.

J’en suis presque à m’demander si valait pas mieux la présence de l’autre dingo sociopathe, plutôt que la tienne, pleine de rancoeur. J’ai presque envie d’me sentir désolé pour toi quand on nous demande de coopérer.
Presque, parce que dans les faits, j’suis surtout désolé pour moi.

J’joue solo, et toi t’avais ton duo synchro.
À quel moment ça peut fonctionner ?

C’est parce que moi aussi j’la connaissais, l’envolée brisée qui s’est évadée, c’est ça ?

Mais y’a rien qui va, tout qui déconne — peu importe la façon d’le dire, c’est le même bordel. Espèce de conne, me gueule dessus depuis le début, c’est de mal en pis, cambriolage foiré, et voilà qu’on a des héros en couche-culottes à nos trousses — le tableau fait rêver.

« MAIS BORDEL, À DROITE ! »

À droite.
À droite. T’es maline toi, vas-y à droite, fonce dans les bureaux ; oh non, pardon, fonce dans les portes. J’espère qu’elles t’opposeront un verrou bouclé, que tu t’en prennes deux ou trois dans la gueule.
À droite des allées sans issues — tu sais lire, bécasse ? C’est écrit partout sur les murs.

« LA PORTE BORDEL ! À. DROITE.
MAIS TU VAS LA FERMER P— »

Oh merde.

Y’a un truc ((ouais, j’vais pas m’attarder pour voir quoi, hein)) qui me frôle en sifflant, au bout du couloir le clignotement des caméras et les rabatteurs — à droite putain, j’ai compris.

J’balance un pétard dans mon dos et je m’échappe ((la porte de droite — la blague)). C’est comme ils avaient dit — l’escalier, la porte sur l’extérieur, et faudrait sauter. Attends, quoi ?
Ok, non, j’la vois — l’échelle. Sauter, rattraper — oh putain j’vais me casser la — non. Glisser — non PAS COMME—

Ouch.

Putain.
J’voyais ça plus haut, mais merde — rien d’cassé, mais j’imagine pas les bleus demain. C’est qu’un truc de plus sur la liste du pire. Un fiasco, un putain de fiasco, j’te jure — mais j’y suis pour rien si t’es conne, depuis qu’t’es toute seule. J’y peux rien si tu dis blanc et alors qu’en haut on m’a dit noir.
J’y peux rien si toi et moi, ça peut pas marcher.

Enfin — heureusement qu’Creep n’a jamais été populaire.
M’enfin, quand même, j’ose espérer que même eux auront trop honte pour diffuser ça.

*****

Retour dans les quartiers d’la tour de verre — elle me manquait pas, celle-là.
Je m’enfile un verre d’eau au distributeur, à défaut d’autre chose, j’ai fait tomber le masque et j’l’ai abandonné sur un des fauteuils du hall — presque désert à cette heure-ci.
J’bouillonne.
J’voudrais t’en foutre une ou m’mettre minable pour éviter d’t’en foutre une.
J’sais pas c’qui vaudrait le mieux — j’aimerais me barrer avant qu’t’arrives, mais j’tiens trop à exploser ((tu m’as pété les couilles, va falloir assumer)).

J’sens la scène publique avant même de te voir. C’est peut-être ton pas pressé ou l’aura de fureur que tu dégages ((oh, tiens, toi aussi t’enrages ? Bizarre)) — j’me tourne vers toi avant qu’t’ai eu le temps d’me remarquer et d’ouvrir une fois de plus ta grande gueule ((je t’ai assez entendue pour ce soir ; à moi d’me faire un peu entendre)).

« EQUINOX ! »

J’gueule, délibérément, pour attirer ton attention ((et celles des quelques péquenauds encore présent qui vont pouvoir se repaître de sang)) — j’ouvre les hostilités en approchant.

« C’est quoi. ton putain. de. PROBLEME ?! »

Qu’est-ce que j’t’ai fait, sombre idiote, dis-moi ?

« Ça t’arrive de fermer ta gueule CINQ MINUTES et de suivre un PUTAIN de script sans taper des PUTAIN de scandales de gonzesse mal baisée ?! »
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MessageSujet: Re: FUCK OFF // ft. romeo   FUCK OFF // ft. romeo EmptyMar 8 Jan 2019 - 19:43

Une côté fêlée. Rien que ça ? Ca, un oeil au beurre noir et quelques blessures superficielles… J’suis encore dans un état potable.
Nan, c’est pas les blessures physiques le problème.
C’est mon coeur en pièces et ma fureur assassine, qui accuse tout le monde à la recherche d’un bouc émissaire. J’ai besoin d’une victime, d’un sac de frappe, d’une cible pour oublier - m’y fracasser. J’ai besoin de faire mal putain ; j’ai pas assez de blessures, de fêlures, de sang à éponger.
J’ai besoin de m’anesthésier
quitte à être une sale pétasse, qu’une garce infinie - qu’un monstre, peut-être, aussi.
Qu’une pauvre conne. Ce dont j’ai l’habitude, pas vrai ? J’suis qu’une conne de toute façon.
J’avais juste jamais été méchante, jusqu’à maintenant. Mais là, j’ai besoin de l’être putain.
J’vais pas bien Seiren, tu me manques, j’en suis malade. J’vais pas bien Seiren, j’arrive à rien, je déteste toutes les figures qui sont censées te remplacer - comme si c’était possible, de te remplacer, de t’effacer. J’vais pas bien Seiren, j’suis même plus une catastrophe, à ce stade
j’suis pitoyable.
Mais ça reste dans un petit coin de ma tête - un petit coin d’mes tripes - et j’me noie dans ma fureur. Aujourd’hui, ma victime, ce sera Creep ; parce qu’il a eu le malheur de prendre ta place, la prétention de se défendre, l'orgueil de me tenir tête au pire moment.
EQUINOX !
Je pile, lève la tête et le cherche du regard. A l’autre bout de la - vaste - pièce, se détache sa silhouette, et mon regard devient immédiatement vorace.
Parce qu’aujourd’hui, ma colère, j’vais pouvoir la faire déguster à quelqu’un. Que tu seras mon bouc émissaire, Creep.
C’est quoi. ton putain. de. PROBLEME ?!
Ton existence. J’ai un problème avec trop d’existences en ce moment.
Ça t’arrive de fermer ta gueule CINQ MINUTES et de suivre un PUTAIN de script sans taper des PUTAIN de scandales de gonzesse mal baisée ?!
J’devrais gueuler aussi, mais le fait est que j’préfère m’approcher de quelques pas avant, l’air toujours aussi furieuse.
Mon problème, Creep ? Tu veux dire, autre chose que parce que t’es qu’un putain d’incapable !?
T’es encore trop loin de moi pour que ta gueule risque quoique ce soit, mais promis, ça va pas durer.
Mon PROBLEME !? Mais c’est TOI mon putain de problème !
Mes enjambées sont rapides et mes jointures me démangent ; sois mon sac de frappe
juste, laisse moi t’fracasser la gueule.
J’ai aucune retenue, aucun garde fou, tu sais ? Tu devrais fuir - ou toi aussi, toi aussi t’as soif de sang ? Dis moi Creep, toi aussi t’aimes ça
souffrir ?
J’attrape ton col,
m’apprête à frapper
j’ai pas besoin de réponse Creep, juste
juste
me défouler.
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MessageSujet: Re: FUCK OFF // ft. romeo   FUCK OFF // ft. romeo EmptyMer 24 Juil 2019 - 12:21

T’as tellement de rage dans les yeux, Equinox ; t’en as la voix qui tremble, t’as l’air si petite dans cette tour immense et même ta colère ne te grandit pas — t’as l’air d’une gamine contrariée, non, si seulement ce n’était que ça. T’as l’air d’une gamine blessée, écorchée vive, d’un animal sauvage qu’on a affamé puis acculé, qu’on frappe au bâton en attendant qu’il réplique pour le finir ; en attendant qu’il morde pour lui coller l’étiquette de bête féroce à abattre. T’as l’air d’une mioche à qui on a tout pris, d’une môme qui ne croit plus en la vie — t’as beau combler le vide en gueulant et en levant le menton, y’a que tes creux béants que j’vois ((t’as l’air vague d’un puzzle dont on a semé les pièces au hasard des chahuts et des déménagements)).

J’te connais pas, Equinox, j’connais que ce qu’on m’a dit, ce qu’elle m’a dit ((et dans ses mots t’étais belle, Junko)), j’sais pas grand chose mais tu me la feras pas — j’sais trop bien d’où naissent les accès de violence, d’où puisent les cris et le fiel, je sais de quel acide tu brûles ((quelle balle a pris ton cœur pour cible)). Tu m’fais payer parce qu’il faut un coupable, tu pars en vrille et j’suis l’excuse parfaite, le mobile et l’alibi — qui crois-tu berner ?
Toi non plus, tu ne sais rien.

Et ta poigne, et tes yeux — mon poignet en barrage au coup que je prédis, et ma main qui emprisonne le tien pour garder ton geste en suspens ; le silence, une seconde ((une inspiration vacillante)).

« J’éviterais de faire ça, si j’étais toi. À moins que t’aies décidé de provoquer ton licenciement ? C’est p’t’être ta façon de gérer l’abandon, la fuite en avant… »

J’suis qu’un connard — mais tu m’vrilles, j’ai envie de te voir te briser, même une seconde, j’veux te voir flancher, faillir, que tu me donnes raison même en silence.

« Regarde-toi… Tu crois que tu la rendrais fière, si elle te voyait comme ça ? Tu crois qu’elle reviendrait, si elle savait quelle sale garce t’es en vrai ? »

Ça t’fait mal, hein ?
Tu m’détestes, pas vrai ? T’as envie de m’en coller une, de me décrocher la mâchoire, de me fracasser jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le vide, jusqu’à ce que le froid balaie la brûlure — je sais tout ça, Equinox, j’ai détesté le monde entier.

« J’ai pas plus demandé cette situation que toi, t’es au courant ? J’déteste le travail d’équipe ! »

Un silence — un instant tout vacille, celui d’après j’me fends d’un rire amer.

« Non, mieux en fait : c'est ce job que je déteste. »

Lentement, mes doigts relâchent ton poignet — j'soutiens ton regard, pas une seule seconde je ne te donne la satisfaction de me voir céder ((j'ai trop d'honneur, trop d'fierté, un ego qui dévore)). Pourtant je ne lutte plus — mes épaules se relâchent, le noeud dans ma gorge s'étiole, je m'abandonne au cynisme désenchanté et à la morsure de ton incandescence.

« Vas-y, Junko. Cogne, si tu veux, cogne si tu crois que ça va la ramener… Mais j'te conseille de pas m'louper. »
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