Jane Léandre Gates Date d'inscription : 25/05/2018 Messages : 20 Dollars : 16 Crédits : Marvel-Meera Localisation : Loin de toi
Citoyens | Sujet: I'm a lonely Boy-Jane Léandre Gates Ven 25 Mai 2018 - 19:49 |
| Gates Jane Léandre "Les apparences sont toujours trompeuses, mon ami." ft. Loki (Marvel) Nom Gates (il s'agit d'un nom d'emprunt tout à fait légal) Prénom(s) Jane Léandre Âge 29 années Surnoms je ne crois pas en avoir! (ses employés le nomme « le connard du service » et son patron « l'emmerdeur ».) Orientation sexuelle Hétéro mais cœur de pierre au caractère pas facile du tout Groupe Civil Sponsor aucun, mais si un sponsor m'approche pour un contrat, j'aviserais sur le moment. Ce qu'il pense de la situation à Astrophel Amusante et stimulante, je suis un opportuniste de première classe. Qui dit super-pouvoirs dit blessures et maladies énigmatiques. Métier je suis Médecin-chef de l’hôpital d'Astrophel City, je m'occupe du service génétique et diagnostic. Nationalité je suis né au sein d'une vieille famille noble écossaise: les De Saint John. J'ai également la nationalité américaine et c'est là que j'ai changé de nom. Super-pseudo Aucun. Il a découvert son pouvoir que très récent. Pouvoir Mort à crédit Description du pouvoir Si au premier abord, son pouvoir semble très fort, rassurez-vous, les contres-coups sont tout aussi énormes. Jane Léandre peut empêcher sa propre mort (sauf vieillesse, bombe XXL, écrasement, broyeuse et toutes les morts bien sales à base de torture sauce vin rouge, bref ce n'est ni un anti-ride ni un anti-puzzle). En effet, si ses organes vitaux sont atteints que ce soit par une arme ou une maladie ou autre, il plonge dans un coma très profond, très proche de la mort mais ne meurt pas. Ses organes réussissent à se régénérer. Cependant, cette longue léthargie peut durer une heure, un jour, un mois, une année, vingt ans, etc en fonction de la gravité des blessures mortelles. C'est un pouvoir qu'il ne peut maîtriser avant plusieurs dizaines d'années car il vient juste de le découvrir. De plus une fois sa léthargie passée, il ne récupère pas pleinement toutes ses capacités immédiatement. Par exemple, s'il est touché par une balle au cerveau, une fois sa léthargie passée, il aura pendant quelques jours la difficulté de réfléchir correctement, si c'est le cœur, une endurance réduite, si ce sont les poumons, une impression de suffoquer, si c'est la peau (acide, brûlure au 3e degré par exemple), la sensation désagréable de chaleur, de démangeaison et d'être à vif et si l'estomac et tout le système (à détailler au fil de ses aventures), une envie de pipi permanente, l'impression d'avoir toujours faim, un grognement intempestif, des nausées etc. Point fort: repousser la mort, bon par contre si on lui inocule le sida pendant qu'il est en léthargie, autant dire qu'il va crever, ses défenses immunitaires sont affaiblies. Points faibles: si cela peut lui sauver les fesses de temps en temps, ce pouvoir n'a aucun intérêt défensif ou offensif. De plus, les absences prolongées s'il en abuse pourrait lui coûter son travail et un affaiblissement progressif de ses défenses immunitaires et de ses organes vitaux. À utiliser donc avec parcimonie. Gadget une montre connectée à son ordinateur et portable pour avoir ses rendez-vous sur le cadran en temps réel. Elle fait podomètre et cardio. Taille 1m88 Poids 63 kg Cheveux noir Yeux vert Particularités physiques Un homme énigmatique longiligne et aux cheveux longs, c'est un observateur, il pourrait vous fixer pendant 10 minutes et ainsi déterminer, par l'analyse de votre attitude, des bribes de votre caractère et si vous avez des secrets à cacher. Ses yeux verts sont assez troublants et laisse parfois ses interlocuteurs tremblotant devant lui. Quand il réussit à déstabiliser une personne, il éprouve une grande satisfaction et ne peut s'empêcher de sourire. Il a un tic de stress : celui d'agiter le bout de son nez à la façon de Ma sorcière bien aimée. Style vestimentaire Il s'habille très souvent de façon très sombre avec un long manteau vert foncé. Parfois en costume trois pièces, il privilégie les cravates aux nœuds papillon. Il prend soin de sa chevelure et essaie le plus possible de la laisser au naturel, il les attache parfois et il lui arrive aussi d'utiliser du gel lors de rendez-vous importants. Au travail, c'est blouse et gants blancs. « Allons, je ne suis guère un homme charmant, ma chère... » Caractère « ...Je n'ai guère que des manières qui irritent au plus haut point nombreuses personnes de mon entourage. Voyez-vous, je suis là et né, il me semble, uniquement dans le but d'apprendre. Ma soif d'apprendre est sans égal mais, je vous l'avoue volontiers, je hais les gens, ils ne m’intéressent pas surtout le citoyen lambda.» -Est-ce pour cela que vous êtes venu à Astrophel? Pour apprendre? « Voir et savoir. Ce sont deux mots issus de la même racine latine, vous savez. Évidemment, je vais vous répondre par la positive, je suis venu étudier ces prétendues personnes aux dons hors du commun. Sans vouloir me vanter...» - Pourtant, c'est ce que vous faites depuis une heure... « Non, mais ne me coupez pas, merci bien. Qu'est-ce que c'est que ces manières d'enfant pourri gâté? Je parle, on m'écoute et seulement après, vous pourrez faire des remarques ou poser des questions. Bref, qu'est-ce que je disais? Ah oui! Sans vouloir me vanter, je suis un très grand médecin, j'étudie la génétique et je suis actuellement major de ma promo, voyez-vous. J'étudie également le comportement des gens, cela me permet de savoir à qui je parle. » - Ah oui? Monsieur sait donc qui je suis? Allez-y montrez-moi pour voir. « Vous êtes une femme, visiblement d'une trentaine d'années, célibataire ou qui cache son jeu. Vous êtes une fine bluffeuse mais rien ne m'échappe ou si peu. Issue d'un milieu modeste, vous prétendez être une dame de la haute société mais malheureusement pour vous n'en avez même pas l'allure. Vous êtes une joueuse invétérée, poker, black jack, roulette et vous devez être fauchée, c'est pour cela que vous tentez d'amadouer quelques hommes afin de vous refaire bonne fortune. Malheureusement pour vous, bien que je sois assez riche, je ne me méprends pas et je vous prierais de me rendre la montre que vous m'avez volé avec la discrétion d'un gros pachyderme asthmatique, de ranger vos seins dans votre décolleté et faire le tapin plus loin, sale vipère. » - Ah le malotru! Tiens la voilà ta montre. La claque de ma vie. J'avais une belle trace rouge sur le visage mais, je souriais, je l'avais démasqué et elle s'était braquée montrant aussi que j'avais raison, encore une fois. C'était un moment jouissif, je jubilais. Je ne suis pas ce qu'on appelle un caractère facile. Je suis froid, parfois hautain et un brin narcissique. Sachez cependant que je ne suis pas un pervers narcissique. Je n'ai juste aucune considération pour les gens mais je ne suis pas là pour les rabaisser ou me comparer à eux. Je n'éprouve que de l'affection pour mon grand frère, Arthur mais nullement pour mes parents. Je ne veux pas fonder de famille, je suis donc un jeune solitaire. Pourtant tout n'est pas négatif en moi. Je sais pertinemment que je suis parfois très rude dans mes propos et je n'hésite pas à reconnaître mes torts mais pas forcement à m'excuser à tout va. J'ai choisi d'être médecin pour plein de raisons, pour mon frère, pour être utile à la société et me sentir mieux. Peut-être est-ce une vision égoïste et égocentrique mais je sais pertinemment que je peux sauver le monde, nous avons des valeurs très chevaleresques mon frère et moi, sauf que je suis le déchu. Je suis épicurien, je me contente donc de peu pour être satisfait. Je ne suis pas pleinement heureux et je ne le serais probablement jamais. Mes seuls moments de joie sont quand je réussis à guérir un patient ou que j'ai découvert quelque chose de nouveau sur le génome humain. Finalement, je ne suis guère plus qu'un petit enfant perdu dans un monde de grand. Probablement dû à une enfance volée, réduite à néant par des parents distants, absents, violents. Mon frère était ma seule bouffée d'air pure. « Mon cher frère, Le temps passe et nous nous éloignons un peu plus l'un de l'autre. Je suis toujours à Astrophel et toi, je ne sais où tu es. Je sais bien que ton métier de militaire est prenant et très dangereux. Je sais bien que tu adores ce que tu fais. Je t'en prie, ne prends aucun risque, je n'ai plus que toi et tu as toujours été là pour moi. J'ai voulu devenir médecin le jour où tu as décidé de devenir pilote de chasse parce que je voulais te soigner, te sauver. Je t'aurais suivi au bout du monde. Je t'en prie, Arthur, reviens, reviens, reviens... Ô cher frère, j'aurais préféré que tu suives ton premier métier quand on était enfant, t'en souviens-tu ? Tu voulais être ambassadeur du chocolat. Cela nous faisait rire, c'était l'insouciance d'une journée éclair qui avait peu à peu sombré au cauchemar. Te rappelles-tu ? Moi, j'en rêve toutes les nuits et je repense à ce puit et à l'incendie, une longue agonie, une longue angoisse qui a fait taire tout désir, tout sentiment en moi. J'ai besoin de toi, de tes conseils, de ton sourire. Non, je n'ai pas grandi depuis vingt ans, je me sens seul et aigri. Il faudrait que j'arrête d'être négatif je pense, à être plus mature, aller de l'avant mais je ne peux pas y arriver tout seul. Promet-moi de venir une fois ton service terminé. Pas longtemps, si tu veux, mais j'ai besoin de mon grand frère. Je t'aime. Ton petit frère. » Voilà un de mes seuls rêves : ne plus avoir peur du monde extérieur. Tout n'est qu'une carapace, une coquille vide. Ce n'est pas que j'aime pas les gens, non, je n'arrive juste pas à m'exprimer correctement. Je sais pourtant être cordial, bon, extrêmement poli de par mon éducation car même si nous avions des parents fantômes, nous avions des percepteurs à qui je ne peux rien leur reprocher, ils faisaient leur rôle, leur travail. Il ne me manquait que l'amour. Je suis incapable d'aimer. Parce que je ne connais que l'amour fraternel et rien d'autres, c'est un mécanisme qui m'échappe, que je ne contrôle pas. Cela ne m'a pas empêché d'avoir des aventures, j'ai cassé bien des cœurs, des rêves, des illusions. Moi, je ne désire que la paix intérieure et couper le cordon avec Arthur mais...j'en suis incapable à l'heure actuelle. J'ai une admiration sans faille pour les gens forts et indépendants, c'est cette façade que je tente de maintenir au quotidien mais au fond, je ne suis qu'un homme fragile au bord de la rupture et qui nourrit une colère intérieure. J'adore le parfum des roses et du praliné. J'adore les sucreries, les glaces, la barbe à papa, tout ce qui pourrait évoquer l'enfance et la douceur d'un matin d'été. Ce qui tranche avec la dureté de la ville d'Astrophel et mon métier. C'est une bulle de confort qui me permet de m'évader. Je suis un très bon médecin mais je n'ai plus foi en l'humanité, je vois les patients comme des énigmes à résoudre, rien de plus. Je ne suis ni cordial ni sympathique envers eux. Je suis cash et franc, si la personne va mourir, je lui dirais sans aucun ménagement et sans aucun sentiment. Au quotidien, je reste discret et timide sauf si on vient délibérément marcher sur mes plates-bandes, je serais alors capable de m'enflammer et d'un jour, peut-être, faire resurgir ma haine et ma colère sur celui qui ira trop loin, quitte à en mourir. Mais assez parlé de ma psyché, parlons...hum...de mes passions-car oui, j'ai quelques passions- et des choses qui me déplaît. Je suis un grand fan de sport de glisse : ski, snowboard, skate et plus récemment le surf mais je suis aussi adroit d'un pélican atterrissant sur une plaque de glace, il faudrait que je puisse m'entraîner davantage mais mon travail laisse peu de temps aux distractions. Il m'arrive de...boire...beaucoup...quand je déprime...autant dire que ça arrive au moins deux fois par semaine. J'aimerais arrêter mais je ne suis guère qu'un lâche perdu sans son frère. Sachez également que je suis peintre dans l'âme mais la plupart de mes œuvres ont pour sujet central, un incendie, un énorme incendie...et puis...je suis claustrophobe...trop petit endroit, petite pièce...pas de...j'ai peur. Histoire Ah les De Saint-John, vous connaissez? Issu d'une longue lignée médiévale, cette famille écossaise n'a pas toujours eu très bonne réputation. Complots, meurtres, tromperies et consanguinités ont traversé les âges, beaucoup eurent la tête coupée, d'autres ont croupit en prison mais c'était une famille si puissante, qu'il en était impossible à détruire. Cette famille avait même sa propre armée et frapper monnaie. De nos jours, c'est une famille noble, encore assez riche, royaliste et sans pouvoir ou influence. Mon père était un descendant direct. Je suis né dans la mauvaise famille, j'ai toujours cru que j'ai reçu une punition divine. Si cela peut me faire sourire aujourd'hui, j'en ai malheureusement souffert. Je ne veux pas m'étaler dessus, j'aimerais pouvoir oublier toutes les horreurs qu'on a subies mon frère et moi. Éducation très stricte, pensionnat, coup de bâton et de taser, enfermement dans la chambre ou dans la cave. Mon père est fou à lier et ma mère...a vite fui en nous laissant tous les deux à sa merci. Heureusement, il est trop occupé à faire des orgies, à jouer avec le feu et à boire comme un trou, ce sont des babies sitters, des percepteurs, des professeurs qui se sont succedés. Nous sommes devenus des enfants brillants et intelligents mais profondément tristes. Nous n'allons pas à l'école, on a trop honte et puis il y a eu ce jour terrible...j'en frisonne toujours d'effroi : Arthur et moi avions respectivement treize et dix ans en ce matin du premier août. Le domaine des De Saint John était grand mais sans plus, c'était surtout une immense forêt de sapin, un pavillon de chasse Xve siècle et son puit au milieu sûrement plus ancien que la maison. Nous jouions tranquillement dans le jardin quand un terrible orage fit son apparition, nous déifions l'orage, ce déchaînement de colère et de puissance quasiment divine. Nous adorions observer le ciel et les grands sapins du domaine. L'orage était très violent et voici que la foudre frappa les sapins qui s'embrasèrent instantanément malgré le début d'averse. Arthur se fit frapper à son tour et hurla de douleur, j'étais terrifié et ne puis m'empêcher de pleurer. Il n'était pas mort. L'éclair avait juste révélé son pouvoir et était entouré d'éclair. Il avait un pouvoir fascinant et difficilement explicable puisqu'il contrôlait et contrôle toujours l'état plasma. Ce jour aurait pu finir merveilleusement bien mais c'était sans compter sur le vieux père, fou à lier qui, voyant son fils foudroyé mais toujours débout sans aucun dommage ne trouva rien à d'autre à dire qu'il était démoniaque. Sa grande folie a conduit à sa perte. Il sortit un fusil de chasse pour nous tirer dessus et finit par mettre le feu à la maison. Il en éprouvait une telle satisfaction qu'il fit une danse...une danse macabre car il prit feu et tout en poussant d'énormes cris de douleur, il tomba en dansant. Mon frère lui allait très bien, une fois son pouvoir passé, il accouru vers moi, j'avais une balle dans la jambe et le feu nous entoura. La seule solution? Se terrer dans le puit. Ce n'était pas un puit très profond et il était presque vide mais cette ultime épreuve me rendit moi-même fou, j'avais peur, terriblement peur et le mal me rongeait. Quand les pompiers arrivèrent pour mettre fin à l'incendie, ils voulurent se servir du puit. Cela fait trois heures que nous étions enfermés, les pompiers étaient débordés et l'alerte avait été donné tardivement. Arthur me serrait dans ses bras et c'était la première fois que je me suis senti heureux malgré nos malheurs. La suite de ma vie est plus simple, plus calme. Nous étions placés et avons eu une famille d'adoption à Londres. Mon frère est brillant mais il a préféré faire l'armée, il voulait être au service des gens sûrement par reconnaissance. Il est capitaine maintenant et c'est un as du pilotage de rafales. Une fois sa carrière finie, il compte travailler à l'agence spatiale américaine comme pilote de vaisseau, il sera enfin plus proche de moi. Et moi? Bah, j'ai fait des études de médecine, c'était peut-être mes plus belles années, Arthur était encore là et on fait des sports de glisse ensemble. J'ai eu ma première fois avec une fille à la montagne d'ailleurs et on s'est plus revu après. Je n'ai aucun pouvoir. Arthur lui deviendra un héros extraordinaire, il est déjà mon héros. Je suis arrivé à Astrophel un peu par hasard, j'ai effectué des stages aux Amériques pour parfaire ma technique de glisse avant tout. Tout le monde sait que les meilleurs scientifiques sont européens, surtout en génétique mais par contre les Américains sont des monstres en ski alpin. J'ai découvert Astrophel et son fonctionnement assez particulier à ce moment-là. Arthur et moi ne sommes jamais retournés en Écosse. Une fois les vingt-un ans passés, nous pûmes partir où bon nous semble, lui à travers les conflits dans le globe et moi à Astrophel, il y avait quelque chose de captivant et de totalement fou dans cette cité. Et puis...je sentais que j'allais être réellement utile ici. Huit années à emmerder mon monde, à imposer ma loi pour mieux enterrer ma peine et mes douleurs, j'étais un vrai dragon. Je regrettais certains de mes actes oui mais il était trop tard pour racheter mes fautes. Je suis mort. Ainsi, est-ce ça la mort? Regretter toute l'éternité ce qu'on a fait et se remémorer des souvenirs douloureux? Je pensais la mort douce et calme mais c'était en fait un vrai enfer... Je me souviens à peine de ma mort...il me semble que j'étais sur mon skate et que je me suis pris...un poteau de plein fouet. Pourquoi je ne l'avais pas vu ? Je n'en sais rien...Toujours est-il que j'ai pris un tel choc que j'ai l'impression d'être mort sur le coup. Pourtant, j'ai cette impression étrange d'être toujours vivant...d'être dans un entre-eux, ce n'est pas hyper agréable... *bip...bip...bip*- ça alors. C'est un miracle !!! Monsieur de Saint-John, il est réveillé ! - Et bien, mon petit frère ! Tu nous as fait peur...ça fait trois mois que tu es dans le coma. Étrange pouvoir que tu as... J'ai terminé mon service, je serais plus souvent là. - Mon frère ? Je...Arthur...je suis au Paradis ? J'espère comprendre ce qu'il s'est vraiment passé, j'ai du mal à suivre...et pourquoi ai-je cette chanson en tête? derrière son écran... Pseudo Plante Verte Âge 24 Disponibilités maigres pour le moment Comment t'es arrivé sur le fo ? la faute à Baghounette T'en penses quoi ? comme d'hab, j'l'aime. J'compte même faire un TC et un predef \o/ Code du règlement |
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