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Le PDG de la X-TREM Factory entretiendrait une relation des plus intenses avec sa vice-présidente. On espère que ce n’est pas cette affaire qui a distrait l’ancien Phoenix de son travail et qui a entraîné un manque de sécurité lors de la dernière conférence de presse de l’entreprise où à eu lieu une explosion causant la mort d’un de ses haut-gradés...
Le mystérieux « Mist » dont l’apparition soudaine a récemment secoué la ville serait en fait une association de trolls désoeuvrés voulant profiter de la panique des récents attentats pour gagner plus de popularité sur les réseaux sociaux.
Il paraîtrait que le fondateur de la ville Edward Astrophel aurait été le descendant direct de Diogène, le philosophe grec qui vivait dans un tonneau. Incroyable !
les rumeurs


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I was dead once. (Camilia)
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X-Trem Factory (médecin)
Camilia Roxvenssy
Camilia Roxvenssy
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X-Trem Factory (médecin)
MessageSujet: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 0:10

Camilia Roxvenssy
J'ai revu nos adieux dans un lointain souvenir.

ft. Eve (Elsword)
Nom Roxvenssy.
Prénom Camilia.
Âge 28 ans.
Surnoms Cam.
Orientation sexuelle Hétérosexuelle.
Groupe Super-héros.
Sponsor XTF.
Ce qu'il pense de la situation à Astrophel Elle comprend les motivations qui poussent les révolutionnaires à prendre les armes, mais ne considère pas la violence comme une solution judicieuse. En attendant d'en trouver une meilleure, elle se contente de sauver ce qui peut l'être.
Métier Médecin (militaire).
Nationalité Américaine.


Super-pseudo Niké.
Pouvoir Vies de chat (8/9).
Description du pouvoir Après avoir été victime d'un accident, d'une blessure, d'un assassinat (toute mort qui ne soit pas due à la vieillesse ou la maladie), elle revient à la vie. Le délai entre sa mort et sa résurrection peuvent varier selon les circonstances (importance des dégâts, lieu de la mort, déplacement du corps, etc.) et elle paie un tribut pour chacune de ses morts (attributs physiques, capacités physiques ou mentales, souvenirs).
Costume code:empress
++ Les drones sont ses trousses de secours (qui ne volent pas, en fait, elle les attache à sa ceinture).
++ Elle est toujours accompagnée de Jango, son berger allemand noir.

Taille 164cm.
Poids 59kg.
Cheveux Blancs. Ils étaient châtain clair avant qu'elle ne meure.
Yeux Noisette (dorés).
Particularités physiques Pratiquement muette ; depuis sa première mort elle éprouve des difficultés à parler et se contente souvent de murmurer.
Style vestimentaire Raffinée, élégante. Souvent habillée de blanc.

Et ça m'a fait mal, ça m'a fait souffrir, que tu m'ais laissé mourir.
Caractère
Aux amours fanées et fébriles qui dansent en son cœur fragile, aux tendresses maltraitées et aux larmes interdites, aux cris jamais prononcés et aux sourires détruits, Camilia meurt d'une lenteur douloureuse, d'une agonie malade et silencieuse. Une révolte déchirée hurle et s'épuise, essoufflée à force de ne jamais être autorisée, la colère est un véritable danger, personnifiée en démons exilés et rendus muets par le déni. Dans l'explosion soudaine et incontrôlée d'une pression trop longtemps maintenue, l'expression de son honnêteté tout à coup révélée la ronge et la tue, lui fait vomir sa culpabilité. Elle ne se sent aucun droit d'exister et les murmures malins se glissent à ses oreilles comme des parasites, lui suggèrent de se taire, de s'effacer.

Camilia est morte et se souvient d'un sommeil sans rêves et d'une paix sans joie. Camilia est morte et les douleurs malheureuses la traquent. Camilia est morte et ne se sent plus à sa place parmi les vivants, elle qui avait trouvé dans la mort une certaine forme de soulagement.

Elle qui aurait décroché la lune et soulevé des montagnes, elle qui chantait ses rire et combattait ses malheurs, elle dont le courage aveugle bataillait pour rendre son honneur à la vie, elle dont la naïveté était devenue une qualité ne sait plus pourquoi elle se bat et se demande si toute sa lumière d'autrefois n'était finalement qu'un mensonge pour se rassurer.

Les rugissements de son âme enterrée grondent et attendent, son cœur menaçant chaque jour un peu plus de revivre à nouveau. Les braises étranglées de ses yeux creux guettent leurs premières flammes.

Derrière des millions de masques gelés et brisés, sous les dépouilles de ses angoisses murmure encore la chaleur oubliée de sa générosité. Aux millions de joies qui creusaient ses joues dans le passé, aux millions de larmes qui n'ont jamais voulu couler, aux millions de maux qui ne se sont jamais libérés, Camilia sommeille mais se réveillera, se relèvera pour mieux abattre les démons et diables qui se dressent entre elle et sa liberté. Poussée par une volonté trop forte d'évoluer, incapable de se trahir, elle brandira avec fierté l'épée nommée Bonté.

+++
Bienveillante, douce, silencieuse, culpabilise de sa propre existence, se met systématiquement en danger, aimante, brisée, colères étouffées, honnête, très fébrile avec le contact social (mais le recherche constamment), angoissée, courageuse, brave, généreuse, taciturne, fragile, cherche beaucoup à prouver son indépendance et sa force (refuse qu'on la prenne en pitié ou qu'on l'aide), éprouve des difficultés à se confier et à s'exprimer de manière générale, loyale, déterminée, effrontée, naïve, volonté à toute épreuve.
Histoire
Ce jour-là, il n'y eut aucun bonheur, seulement des cris et des pleurs. Elle était arrivée seule et avait été arrachée à sa moitié, son jumeau mort-né. Camilia en naissant avait immédiatement baigné dans le malheur et la culpabilité d'exister. Aucun sourire n'avait réussi à effacer les douleurs silencieuses qui scarifiaient son âme divisée. Incomplète, inachevée, elle grandissait en se sentant disloquée, défaillante. Sans amour et sans attache pour personne, le vide qui creusait son cœur l'avait rendue amère. A chercher sans cesse de quoi se compléter, elle avait fini par s'oublier, se sacrifier dans l'espoir qu'on l'aime, sans savoir que ce qu'elle cherchait était d'aimer plus que d'être aimée.

Plus rien n'était digne d'intérêt, elle ne goûtait aucune saveurs ni au travers de ses relations ni au travers de ses loisirs. Il n'y avait rien qui rendait ses couleurs à la vie que mécaniquement elle menait, sans conviction et sans joie.

Dans son avenante compagnie, elle s'était rapidement fait des amis. Un monde entier semblait graviter autour d'elle, un monde entier de gens inconnus et de visages familiers, un monde de murmures et de faux airs. Rapidement frustrée par l'hostilité de son univers et écœurée de ne pouvoir être spontanée sans être systématiquement déçue ou trahie, elle s'était complètement refermée, angoissée par le danger que représentaient ses pairs.

***

Le vent était terrible, ce jour-là. Il faisait un soleil magnifique, et les rafales venaient parfois soulever sa robe qu'elle s'empressait de maintenir contre ses jambes. Son père derrière elle devait essuyer les larmes de sa femme qui, voyant sa jeune fille grandir, avait tout à coup fondu sous l'émotion. Elle s'était approchée, avait embrassé sa joue et lui avait fait promettre de leur donner des nouvelles.

— C'est promis.

Un sourire avait creusé ses joues et alors elle avait attrapé sa valise, s'était engouffrée de l'autre côté du contrôle d'identité de l'aéroport. Elle avait donné son passeport, et avait disparu au fond du couloir.

Douze heures plus tard à l'aéroport de Dublin, elle se jetait dans les bras de ses grands-parents.

***

L'université avait quelque chose de différent, quelque chose de rassurant. Les amis qu'elle s'y était faits avait pris une place plus importante que quiconque qui avait croisé son chemin jusqu'à présent.  Enfin elle se sentait proche, enfin elle se sentait concernée par les amitiés qu'elle nouait. Ceux qui l'entouraient ne lui semblaient plus être des coques vides ; pour la première fois, Camilia aimait, et s'épanouissait.

***

— Bah allez, pourquoi tu vas pas le voir ?
— Arrête!

Margaux était une amie taquine, mais surtout une amie honnête et pleine d'énergie, une fille magnifique dont le charme n'était jamais passé inaperçu. Elle était probablement la petite amie du capitaine de l'équipe de football, même si ils n'avaient jamais rien officialisé, et elle avait supplié Camilia de l'accompagner pour assister à leur premier match de la saison. Elle ne s'intéressait pas particulièrement à la compétition, mais il n'avait pas fallut insister longtemps pour qu'elle accepte.

— Il s'appelle Arthur Cavendish, si tu veux tout savoir.
— Arrête je te dis, c'est pas ce que tu crois !

Elle avait raison, Margaux, si bien que les joues de Camilia n'avaient cessé de s'empourprer. Elle n'avait fait que le regarder, comme si elle avait été hypnotisée, et elle tombait des nues à chaque fois qu'un point était marqué, comme si elle revenait d'un rêve, se souvenait un peu de sa réalité.

— Et célibataire, avec ça !
— Et ça m'intéresse pas-
— Pas à moi, Cam, pas à moi ! Te retourne pas mais il vient vers nous.
— Quoi ?

Elle s'était retournée, retrouvée face à lui qui était arrivé aux gradins plus vite que prévu. Le regard figé, les lèvres entre-ouvertes, elle sentit en elle la panique monter lorsque le rire de Margaux creusa un peu plus sa tombe.

— T'as fait un super match, Arthur. Cam on se verra demain, ok ?
— Hein !?

Margaux avait dévalé les estrades et avait disparu dans la foule en mouvement qui quittait le stade. Camilia était restée immobile et muette, et dans le silence leurs regards s'étaient apprivoisés. Bientôt ils étaient seuls et l'endroit était vide.

Elle avait souri.

***

Elle était entrée au conseil des étudiants. C'était lui qui l'avait recommandée, et même si il avait du se battre pour qu'elle accepte, elle avait accepté. Aux réunions ils s'étaient lancé des regards qu'eux seuls pouvaient voir.

Et il avait souri.

***

Il faisait un temps magnifique, ce jour-là. La légère brise qui caressait les feuilles des arbres en fleurs rendait la chaleur, d'habitude étouffante à cette période de l'année, agréable. Le gymnase était noir de monde et les murmures s'étaient tus lorsque Arthur Cavendish, président du conseil étudiant, commença son discours. Les nommés, chacun à leur tour, avaient avancé jusqu'à l'estrade, et avaient reçu leur diplôme. Quand son nom retentit, Camilia sentit ses jambes devenir comme du coton. Si ça n'avait pas été Arthur qui l'encourageait de son regard ; de son sourire ; peut-être qu'elle aurait faillit avant d'arriver à lui. Mais il avait souri, et ça lui avait donné du courage.

Ce soir-là, chez ses grands-parents, ils avaient sabré le champagne et ri jusqu'à passé minuit. Ce soir-là, Arthur avait offert à Camilia le plus beau cadeau que personne ne lui avait jamais fait. Ce soir-là, elle devint la maîtresse d'un adorable berger allemand noir qu'elle nomma Jango. Dans un cadre au-dessus du poêle trônait désormais la photographie heureuse de Camilia diplômée, accompagnée de Margaux, Arthur, et Jango.  

***

Il ne restait que deux semaines avant son départ. Sa grand-mère, ce matin-là, avait préparé des petits gâteaux dans lesquels elle avait mis des noisettes, à l'attention particulière de sa petite-fille qu'elle savait friande de sa recette. Quand elle descendit de sa chambre, l'odeur chaude du biscuit sorti du four avait eu l'effet immédiat de la mettre en joie. Elle avait embrassé la joue de sa grand-mère avant de se servir sur l'assiette au milieu de la table, et en fourrant le gâteau dans sa bouche, Camilia écoutait d'une oreille absente ce que lui racontait sa Nanny.

— Tout ça pour dire que ça m'embête de ne pas être là pour ton anniversaire.
— Les billets d'avion sont trop cher en juillet, Nanny, mais c'est pas grave je te téléphonerai.
— J'ai laissé un cadeau en avance sur la table du salon.

Elle avait arqué un sourcil et s'était rendue d'un pas intrigué vers l'endroit indiqué. Elle avait levé le papier jusqu'à ses yeux et se retourna brusquement, avalant sa bouchée avec hâte pour mieux articuler.

— Nanny c'est beaucoup trop..
— Un cadeau ne se refuse pas ! Et puis tu sais, moi j'y connais rien à tous ces machins là tactiles et sophistiqués alors tu devras quand-même aller l'encaisser toi-même. C'est un peu un cadeau empoisonné.

Elles avaient ri, et elle l'avait remerciée pour le chèque trop chargé qu'elle lui avait laissé.

Ainsi elle était allée à la banque la plus proche de son quartier et c'est après deux heures d'attente devant le seul guichet ouvert qu'elle commença à comprendre le sens du mot empoisonné.

Il y avait deux femmes qui discutaient sur le côté, habillées en tailleur et leurs cheveux attachés. Devant elle il y avait un homme d'une trentaine d'années, un peu gras mais pas vilain, qui tapotait sur l'écran de son téléphone nerveusement. Sur les banquettes derrière attendait un couple d'un certain âge et Camilia songea qu'avec une canne aussi usée, le vieil homme allait finir par tomber. A côté d'eux, une femme berçait son enfant dans sa poussette pendant que son mari se battait avec la fonctionnaire du guichet qui ne voulait pas lui accorder son prêt. Un sourire avait décoré les lèvres de Camilia qui pensa que le minuscule échantillon de monde qui se débattait en cette salle avait quelque chose d'attendrissant.

La porte d'entrée fut enfoncée brutalement. Un premier cri avait retentit, le bébé s'était mis à pleurer. Les dames sur le côté avaient arrêté de discuter et s'étaient offusquées. Le mari avait cessé de se plaindre et l'autre qui attendait avait quitté son téléphone des yeux. Le vieil homme en cherchant à se lever, paniqué, était tombé sur les genoux. Camilia s'était jetée sur lui, inquiétée qu'il se soit blessé, mais les hommes masqués de leur cagoule noire hurlèrent et plus personne n'avait osé bouger.

Trente minutes avaient passé. Le petit groupe était assis, rassemblé dans un coin de la pièce, menacé par des armes à feu trafiquées que même Camilia qui avait étudié l'armement n'aurait su identifier. Un des braqueurs avait disparu de l'autre côté des comptoirs avec la fonctionnaire, et ils n'étaient toujours pas revenus. Il y avait dans l'air une ambiance électrique et angoissante.

A la quarantième minute, un cri de femme et un coup de feu avaient retentit de l'autre côté de la vitre. Personne ne se risqua à commenter le retour du braqueur qui n'était plus accompagné.

— Cette salope avait appelé les flics.

Les otages avaient tourné la tête vers l'entrée, de laquelle on pouvait voir les gyrophares se rapprocher. Il n'y eut aucun soulagement à l'arrivée des autorités, car chacun se rendait compte qu'ils étaient piégés. Les otages étaient destinés à crever, ou à servir comme monnaie d'échange contre la liberté de criminels avoués.

A la cinquantième minute, l'homme au téléphone était tombé sous la balle frustrée et paniquée d'un des braqueurs. La pression avait pesé trop longtemps et, perdant ses moyens, il avait tiré. Camilia avait retenu un cri, mais pas ses larmes, et elle perdit son souffle lorsque le corps sans vie de l'homme tomba sur ses genoux bientôt rouges de son sang. Le groupe commença à se dissocier et la discorde qui régna entre eux avaient permis aux policiers d'entrer.

Son bras fut empoigné par un des braqueurs, et Camilia fut emmenée. Lorsqu'elle voulu crier, son ravisseur ôta sa cagoule et découvrit le visage de celui qu'elle avait aimé. Elle perdit les mots et se figea. Comment pouvait-il être le détraqué responsable de la catastrophe de cette journée ?

— Arthur...

La voix d'un des policiers hurla derrière eux.
Puis tout se déroula si vite.
Il allait tirer ; il allait l'abattre. Il allait la libérer de celui qui prévoyait de l'enlever.
Il allait tirer ; il allait le tuer ; Arthur Cavendish allait mourir.

— Non, arrêtez !

Elle fit un pas, et c'est dans son crâne que la balle se logea.
Son visage se peigna de sang et son corps s'effondra.
Un cri retentit, si fort que les murs s'en seraient fissuré, et le bras du damné fit s'abattre sur le policier la mort qu'il eut mérité. Arthur avait tiré, et avait vengé son aimée qui était tombée.

— Faut pas rester là, on dégage !

Elle avait glissé de ses bras, et on l'avait arraché à elle dans des sanglots et des cris. Il l'avait laissée là, sans vie.

***

Son téléphone avait vibré. Vingt appels manqués, le double de messages. Les secours s'étaient précipité sur les lieux.

Jeanine avaient les mains qui tremblaient, et elle n'avait touché à aucun cookies de l'assiette. Elle avait fait tomber sa tasse de café, brisée au sol, lorsqu'elle vit le cadre au-dessus du poêle se fissurer. Son vieux cœur la faisait souffrir et sa voix enrouée avait crié à son mari.

— Hubert.

Le chien n'arrêtait pas d'aller et venir dans tous les sens, il pleurait depuis des heures, tournait en rond et grattait à la porte.

— Hubert, va chercher notre Camilia. Il se passe quelque chose.

Il n'avait même pas pris la peine de remplacer ses chaussons par des chaussures que déjà Papy s'était mis en route. De son dos brisé et de ses jambes fragiles, il avait fait son chemin jusqu'à la banque où l'ambulance était dépêchée.

On l'amena au corps de sa petite-fille, et il ne put se résoudre à croire ce qu'il voyait. Il aurait préféré devenir aveugle que de devoir identifier le corps de Camilia Roxvenssy. Décédée.

Il n'y eut aucun mot pour décrire la détresse qui déchira le cœur de Nanny et Papy, détruits par la perte de leur chérie qui souriait encore dans le cadre fissuré au-dessus du poêle. Ce soir-là, il n'y eut aucune place pour la moindre joie.

***

L'air lui manquait, c'était comme si ses poumons avaient été engorgés d'eau, qu'elle s'étouffait avec son sang. Son corps était lourd, et elle se débattit avec force, prise d'une panique terrible à l'idée de mourir, quitter ce monde qu'elle avait apprit à chérir. Son corps nu et en parfaite santé s'était levé de la table d'opération de la morgue, sous le regard effrayé du légiste qui mit trente secondes avant de s'évanouir.

Elle était restée là, figée et muette, incapable de retracer ses souvenirs. Ses mains tremblaient, et ses yeux pleuraient. Dans le reflet d'une vitre, elle détailla avec stupeur ses cheveux qui étaient devenus blancs et ses lèvres qui semblaient condamnées.

Vingt minutes plus tard, alors qu'un autre légiste entra dans la pièce, elle fut habillée et amenée au bureau de l'inspecteur chargé de l'affaire. Pour tout le monde, la raison de sa survie resta un mystère.

Elle fut libérée rapidement, et reconduite jusqu'à son domicile où les officiers de police eurent bien du mal à expliquer ce qu'il s'était passé. Hubert et Jeanine se contentèrent de ne pas savoir, et remercièrent Dieu qui leur avait rendu leur petite-fille. Ils avaient tant pleuré qu'ils auraient inondé la Terre de leur immense joie.

***

— Alors tu t'en vas pour de vrai ?

Camilia avait fini de boucler sa dernière valise, et se sentit gênée. Nanny était à la porte de sa chambre, sa tasse de café entre les mains.

— Mon billet d'avion a pas été annulé, alors...

Sa voix avait murmuré, incapable de s'élever plus fort. Sa grand-mère avait soupiré, et s'était approchée. Camilia se retourna.

— Je sais pas ce qu'il s'est passé, Nanny. Je te l'ai déjà dit hier, et le jour d'avant, et celui d'encore avant, et..
— Je sais, Cami, je sais.

Elle leva les yeux vers sa Nanny, et des larmes avaient coulé sur ses joues.

— Appelle-nous, souvent. Je ferai parvenir ton cadeau d'anniversaire à tes parents.

Elle avait hoché la tête nerveusement.

— Ton grand-père et moi on t'aime très fort, Camilia. Tu vas beaucoup nous manquer, alors n'oublie pas d'appeler.
— C'est promis.

Sa voix s'était encore brisée au fond de sa gorge, et elle pesta contre cette foutue voix qui ne voulait plus revenir.

— C'est promis.

Et le lendemain, à la première heure du matin, Camilia et Jango s'étaient envolés pour Astrophel où elle était née.

Résumé
Spoiler:


derrière son écran...
Salut à tous les amis c'est Amburusu Lafarge Pokémon
Code du règlement Akainu prend tout doucement le code des mains de la jolie Camilia ♡

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Maxence Holmes
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 0:10

MA PRINCESSE

I
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 0:15

rjiugheruhrugh omg trop hâte de voir ce que tu vas faire fhuregeiuh

CE POUVOIR ???
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 0:15

je t'aime.
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 0:18

I LOVE YOU TOO

Camillia est trop mignonne je meurs. Arrête de faire des personnages aussi parfaits stp.

... En fait non arrête pas. Je les aime tous tellement ouin.

Un lien obligé avec Kazu et avec d'autres de mes bébés si tu veux !

J'approuve cette fiche, j'approuve ton écriture, j'approuve Cam', j'approuve tout ok

Ah et mon égo apprécie qu'un perso avec le presque même prénom que moi arrive *meurs*

Bonne chance pour finir !

Mist
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 0:21

jtm jusqu’aux étoiles
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 6:51

Ton personnage est teeeellement cute Heart
Rebienvenue du coup Blblbl
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 7:01

POUSSEZ-VOUS.

je t’aime.


(laisse moi le temps de me réveiller j’arrive bouge po)
Persona (super)
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Noah J. King
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyLun 15 Oct 2018 - 10:04

olalalala ce pouvoir est tellement classe omg jpp
et puis le reste de la fiche aussi
+ le style d'écriture ryhtgerfz
je fonds
need un lien
X-Trem Factory (médecin)
Camilia Roxvenssy
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  EmptyMar 16 Oct 2018 - 1:36

Oh la la no j'étais pas prête pour tout cet amour
I was dead once. (Camilia)  UnluckyUltimateAlligator-small

maxence > Je t'aime + oki trop trop hâte de rp avec toi là (comment ça on rp tt le temps toi et moi gnnn)

akainu > jsp si jme sens sous pression ou si jsuis émue peut-être un peu des deux but merci snif snouf

ariana > ily babe

kazuko > trop de compliments ayayay jsuis toute émue ce sera tous les liens que tu veux bébi merci merci

cerise > mon amour pr toi se mesure avec un nombre supérieur au nombre d'étoiles dans l'univers

boel > ayayay venant d'un perso aussi cool que le tien je- merci !!

adam > ♥️♥️ I L Y ♥️♥️ watch me tomber dans tes bras

noah > o m g je suis trop touchée merci !!!! need un lien de ouf oui en plus on en pas du tout sur le fo là qu'est-ce qu'on attend EXACTEMENT ????

btw j'ai un peu avancé j'avancerai encore plus tard, je vous aime tous Wow
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MessageSujet: Re: I was dead once. (Camilia)    I was dead once. (Camilia)  Empty

I was dead once. (Camilia)
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