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Le PDG de la X-TREM Factory entretiendrait une relation des plus intenses avec sa vice-présidente. On espère que ce n’est pas cette affaire qui a distrait l’ancien Phoenix de son travail et qui a entraîné un manque de sécurité lors de la dernière conférence de presse de l’entreprise où à eu lieu une explosion causant la mort d’un de ses haut-gradés...
Le mystérieux « Mist » dont l’apparition soudaine a récemment secoué la ville serait en fait une association de trolls désoeuvrés voulant profiter de la panique des récents attentats pour gagner plus de popularité sur les réseaux sociaux.
Il paraîtrait que le fondateur de la ville Edward Astrophel aurait été le descendant direct de Diogène, le philosophe grec qui vivait dans un tonneau. Incroyable !
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au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST
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Carvel & Son (super)
Ambroise Fox
Ambroise Fox
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Dollars : 126
Crédits : Bip boop
Carvel & Son (super)
MessageSujet: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyMar 5 Jan 2016 - 19:43

Ambroise Fox
J’ai couru... J’ai couru jusqu’à sentir tous mes muscles brûler, jusqu’à sentir dans mes veines de l’acide sulfurique à la place du sang. Puis, j’ai couru encore. Fight Club
You're human;
Nom Fox
Prénom Ambroise
Âge 20 ans
Orientation sexuelle Désintéressée
Groupe Super-Vilains
Sponsor Carvel&Son
Ce qu'elle pense de la situation à Astrophel Les sponsors et leurs jeux morbides lui ont offert une liberté incomparable ; elle s'en satisfait donc amplement.
Métier Super-Vilaine
Nationalité Canadienne ; Japonaise de sa mère
Maybe, not totally;
Super-pseudo Blast
Pouvoir Hémokinésie
Description du pouvoir Capable d'utiliser son sang et celui des autres comme une arme, de le solidifier, le déplacer à sa guise — lorsqu'il est déjà en dehors du corps seulement. Son utilisation trop régulière ou intense lui provoque de violentes migraines — et surtout lorsqu'il s'agit de son propre sang — qui se prolongent parfois sur plusieurs jours, accompagnées de vertiges.
Costume www ; les yeux dorés dus à des lentilles. Son masque à oxygène, qui n'a pas vraiment d'utilité si ce n'est camoufler l'odeur du sang. Des aspirines fourrées dans ses poches, pour calmer ses maux de tête.
ft. Kirishima Touka (Tokyo Ghoul)
De bonnes choses arrivent à ceux qui attendent. Mais seulement les choses que les plus rapides ont laissé derrière eux. Abraham Lincoln
Physique;
Une vague silhouette, plantée là, son regard émeraude perçant le brouillard, adressé à quiconque serait capable de le voir. Ni douceur ni chaleur, ni pureté ni candeur. Ses longs cils noirs battent contre le haut de ses joues creuses. Un air grave collé à son visage, le sourire perdu, quelque part au-delà des frontière de sa réalité. Ambroise n'est pas accueillante ni même véritablement effrayante. Un visage marqué par la misère, un regard par une confiance certaine. Livide et une silhouette affirmée, les pieds sur terre et le dos droit. Silencieuse, vide de sens, ni laide ni jolie. Sa voix se brise, rauque et pourtant douce, presque muette, comme un murmure. Ses cheveux foncés lui chatouillent la nuque lorsqu'elle se lève le matin. Sans vraiment faire attention, passant rapidement devant un miroir, s'en écartant aussitôt. Une hygiène bâclée et la certitude d'être sale le lendemain. Une odeur de cendres et de braises.
Rapide. Presque invisible, rusée. Un corps entraîné au combat de rue, contre ses camarades. Un corps ferme, impitoyable. Une allure fière et sûre d'elle. Une attitude d'homme et un corps de jeune femme. Ses coups sont durs, ses mots sont perçants. Ses pas imperceptibles et ses battements de cœur trop lents. Une brise sur le point de devenir tempête. Chacun de ses mouvements est trop mesuré, trop précieux. Ses pas sont une danse et sa valse bien rythmée. Minutieusement répétée, comme sur le point d'exploser.
Les vêtements sont piochés au hasard, dans ce qu'elle peut trouver. Des pulls, des capuches, des bas déchirés. Des chaussures volées, des lentilles offertes. Aucun bijou, pas d'accessoires, pas d'effets. Rien qu'elle qui vous menace de sa pourtant petite taille, un regard hautain et un souffle sifflant entre ses lèvres presque fermées. Une promesse silencieuse au travers de ses yeux. Un éclat presque humain au fond de ses pupilles.

Caractère;
Une âme errante, sans but, sans lois, sans foi. Libérée de toute contrainte, tout espoir, sa rage déchaînée sur ses pairs, ses frères. Autour d'elle ne sévit que la mort, désastreuse. Les astres l'en pardonnent, elle a tous les droits, tous les siens. Une folie sans nom, une tempête infligée avec douleur, aucun bonheur ne traverse ses yeux baignés du sang qui pourrit autour d'elle. Aucune peur dans ses membres et une cruelle douceur qui vous parcourt la joue, du bout de ses doigts froids. Un souffle glacé contre la peau et un dernier baiser. Puis la valse peut recommencer. Je t'aimerai, mais je ne t'aimerai qu'une vie. Le chaos dans ses mots est un poison inlassable, un pêché de l'écouter, de la croire satisfaite de sa victoire. Mais jamais ne se lasse. Mais jamais ne s'arrête. Elle vient, puis repart, embrasse puis tabasse, chérit puis meurtrit. Illusoire. Sa présence fantomatique, sa nature acyclique et ses pas qui se fondent.
Cruelle, ne sourcille pas pour l'inconnu qui lui rend son dernier souffle mais l'honore de sa tendresse. Feintant la paresse et se laissant tomber alors dans son propre cimetière, celui qu'elle créé. Mais aucun rire, aucun sourire ne l'habille. Aucune satisfaction ne naît lorsque leurs vies fondent entre ses mains. Mais jamais ne s'arrête, dans l'espoir qu'un jour, n'en ressentant plus le besoin, ne détruise plus la beauté qui fleurit autour de sa misère.  
Tu peux jouer aux super-héros, si tu veux. Taciturne, ne jouant que sur des sons brefs, presque insonores. Une danse qui s'exprime en elle, qu'elle exprime au dehors et au dedans. Son regard en dit bien plus long que ses mots, sa sincérité dévoilée, sans garniture. La vérité, pure. Pas d'effets, de décorations. Rustre. Moi, je m'en fous, tu sais ? Moi, je survivrai.
Mais Ambroise est prisonnière d'elle-même. De sa propre déchéance, sa folie décadente. Fatalement emprisonnée dans une vie qu'elle refuse de vivre et dans l'idée d'une mort qu'elle refuse d'accepter. Une vérité trop dure pour son âme d'abord trop pure. Arrachée à sa douceur et fendue à son bonheur. Sa conscience déchirée par la seule peur qui l'habite encore. La seule crainte qui l'oblige, chaque jour, à détruire tous les autres autour. La mort. Sauvegardant sa mémoire au travers des cicatrices, des corps laissés là, pourris. Sauvegardant son existence car elle a peur de disparaître dans le temps. L'oubli.
Je t'aimerai une vie. Je t'aimerai et je te pleurerai lorsque je mourrai. Je t'aimerai et je t'oublierai lorsque mon nom lui-même me sera un mystère. Je t'aimerai et je te tuerai. Car il faut que ta vie s'achève pour que la mienne demeure. Je t'aimerai, le temps d'une vie seulement.
Vous avez des balles et l’espoir que je sois à terre quand vos armes seront vides. Parce que dans le cas contraire vous mourrez avant d’avoir pu recharger. V for Vendetta
Histoire;
Il faisait nuit, lorsque sa silhouette avait disparu dans la brume. Il faisait sombre, lorsque le bébé pleurait devant la porte de l'orphelinat et lorsque la porte s'ouvrait, il n'y avait plus personne à l'horizon. Ce n'était pas simple, d'abandonner un enfant. Ce n'était pas simple, d'entendre la chair de sa chair hurler dans un panier en osier, ses pleurs suppliants. C'est ce qu'ils disaient, pour me rassurer, pour me dire que mes parents n'avaient certainement pas été sans remords. Pourtant, je me souviens du froid et de la solitude. Je me souviens m'être souvent posée la question, pourquoi m'avaient-ils abandonnée ? Là-bas, on était toutes les mêmes. Des enfants qui n'avaient pas été désirées, des enfants dont les parents ne pouvaient s'occuper. Et parmi tous ceux là, il y avait moi. Ils m'avaient appelée Ambroise.

Et si l'on avait le même passé vierge, nous n'avions certainement pas les mêmes ambitions pour l'avenir. Chacune d'elles rêvait sûrement d'un homme et d'enfants, de parents fortunés qui viendraient la chercher. Moi, j'ai vite compris que je n'étais pas le genre de petites filles qui embarquait dans la voiture après la visite. Je n'étais pas jolie, je ne jouais pas à la poupée. Elles avaient de grands yeux bleus et des jolies bouclettes blondes. Je n'avais pas les armes pour lutter.

Les cours étaient trop faciles mais les professeurs ne m'aimaient pas. Les autres filles non plus. Le soir, je retrouvais mon lit trempé et des méchancetés dessinées au feutre noir. Le matin, mes vêtements avaient disparus de ma commode et mon réveil n'avait pas sonné, il ne restait plus d'eau chaude pour me laver. Leurs ricanements perfides me perçaient les tympans. Je ne comprenais pas pourquoi j'étais si différente. Toujours seule au fond du réfectoire, la tête baissée et l'appétit envolé. Je ne mangeais plus et dormais peu. Ces filles-là, toutes les autres, je les détestais. Je les enviais, pour leur beauté et leurs fossettes, leur visage doux et leurs voix agaçantes. Je les enviais pour ce que je ne pourrais jamais avoir.. une vie.

La plus grande au milieu et moi son adversaire. Elles faisaient un cercle autour de nous et scandaient le nom du mastodonte qui s'était planté devant moi. J'avais au moins deux têtes de moins qu'elle. Je ne faisais pas le poids. Un coup de sa part et je me retrouvais à terre, le visage écorché, une dent arrachée. Le sang coulait de ma bouche et je me souviens bien de cette sensation grisante de me sentir enfin vivante. La douleur m'avait ramenée à moi et un souffle rauque grognait dans ma gorge. Quand je me relevai, c'était pour lui rendre la pareille. Mais les surveillants étaient arrivés avant qu'elle ne paie.

Assise sur la table, des cotons dans le nez et dans la bouche, je regardais d'un air absent l'infirmière, si jolie, qui s'occupait de soigner mes plaies.  La porte s'ouvrit alors sur la fine silhouette de la directrice. Sauf qu'elle n'était pas venue pour me gronder, à ma grande surprise. Elle s'était approchée, de toute son élégance et avait parlé avec une douceur que je n'avais jamais reçue. J'ai même espéré me noyer dans ses yeux fatigués tant ils débordaient d'amour. Je me perdais alors dans la contemplation de sa tendresse alors que sa voix me semble un murmure. Un doux rire s'échappe de sa gorge et je souris à mon tour, pour la première fois de ma vie. Je n'avais presque rien écouté de ce qu'elle avait dit tant son regard seul m'avait suffit. Je me suis mise à pleurer.

Je ne comprenais pas quel genre de magie avait opéré mais le lendemain, mes draps étaient secs, mon réveil sonnait enfin et j'avais le droit de prendre une douche chaude. Je ne parlais pas davantage et les autres ne m'en appréciaient pas plus mais l'acharnement avait pris fin. Le temps passait et je comprenais que même si la vie était devenue plus facile, elle n'en restait pas moins cruelle. Beaucoup des autres filles disparaissaient du jour au lendemain, à bord de belles voitures, accompagnées de nouveaux parents. De temps en temps, il y avait une nouvelle tête qui se rajoutait et partait ensuite. Aucun parent ne veut adopter une enfant de douze ans. Je n'avais aucune chance de quitter cet endroit maudit.

Madame est décédée la nuit passée. qu'elles disaient. La portée de leurs mots ne m'avait pas atteinte tout de suite. Le temps de percuter, le monde s'effondrait autour de moi. Comme une bombe qui explosait dans le cœur de toute l'assemblée, une tempête qui faisait rage et moi au centre. Je perdais l'équilibre, la notion des choses. Tout s'était déclenché en moi trop vite, la rage, la tristesse, le regret. Je ne la connaissais pas, cette dame, pourtant. Ni son nom ni son âge. Je ne connaissais que la douceur de sa voix et la beauté de ses yeux. Et je savais qu'il y avait dans son cœur des milliers d'étoiles qui peuplaient son ciel.  

Les autres filles avaient recommencé. Et probablement affectées elles aussi, elles avaient décidé de passer leur colère sur moi. Mais cette fois je ne me retrouverais plus à terre et ma mâchoire resterait intacte. Parce que cette fois, la migraine me prenait la tête et un rire rauque grognait dans ma gorge. Je m'étais perdue. Si bien que dix minutes après, quatre gamines rampaient au sol et la dernière était tenue par des liens de sang contre le mur. Je serrais les dents et ma voix cassée retentissait contre le carrelage de notre salle de bains. Inaudible. J'ai baissé les yeux, baissé les armes et versé une larme. Paralysées par la peur, laissées là dans leurs tremblements et leurs gémissements. La rumeur s'était vite répandue et les surveillants me tenaient à l’œil, le temps de trouver un autre établissement qui accepteraient un monstre entre leurs murs. Au moins, elles avaient abandonné l'idée de tremper mes draps. Pour une fois j'avais la paix, parce que j'inspirais la peur. Une nouvelle idée s'était mise à occuper mon esprit. La crainte tout autour et les regards braqués. Je pouvais enfin apprécier le silence plat que je faisais régner par ma seule présence.

Un homme est venu me chercher. Il parlait bien, s'habillait bien. Mais son regard était presque aussi sombre que le mien. Son aura était inquiétante, si j'en croyais l'attitude qu'avait la nouvelle directrice à son égard. Elle avait l'air si distante. Mais lui, en me voyant arriver dans le bureau, il a souri. Lorsqu'il a croisé mon regard méfiant et mes sourcils froncés, lorsqu'il m'a détaillée de la tête au pied, du haut de mes seize années. Et j'ai fini par monter dans une belle voiture, moi aussi. Accompagnée d'un seul homme et toutes les filles aux fenêtres de leur chambre qui me regardaient partir d'un air méprisant. Je les détestais toutes. Elles qui étaient nées pour briller.

Je suis restée muette. Longtemps. Très longtemps. Il pouvait poser toutes les questions du monde, se montrer gentil, chaleureux. Moi, je n'avais pas envie de lui parler. Son appartement était trop triste et sa voix trop insistante. Lui, je ne l'aimais pas. Alors une jeune femme est entrée, des cheveux bouclés, roux, un visage allongé et des yeux perçants. Elle était belle, élégante. Sa silhouette et son visage affiné me rappelait les traits des renards qui rôdaient parfois autour de l'orphelinat. Elle a envoyé l'homme balader d'un revers de la main et il est sorti de la pièce aussitôt. Elle s'est assise devant moi. Elle s'est allumée une cigarette puis a commencé à réfléchir, le regard dans le vague. J'ai regardé ses courbes. J'ai regardé ses lèvres rouges. Je l'ai regardée toute entière, dévoré du regard. Elle l'avait remarqué. Parce qu'elle s'est mise à sourire. En fait j'en avais rien à faire. Elle pouvait être belle, elle aussi, si elle voulait. Mais sa silhouette m'hypnotisait. Si bien que ses mots m'étaient rentrés dans la tête et ne voulaient plus en sortir. La fumée dessinait des cercles dans l'air et mes yeux demeuraient fixés à ses lèvres.

Le lendemain, je me réveillais sur le trottoir avec une enveloppe dans les mains. De belles lettres calligraphiées et une odeur de fumée. Elle me proposait une jolie somme d'argent, la dame aux courbes enflammées. Elle me proposait de détruire pour survivre, la dame aux mots enfumés. Les courbes de ses lettres réveillaient en moi des mots que j'avais déjà entendu mille fois. Ils veulent ta mort, chérie. Mais tu ne veux pas mourir, n'est-ce pas ? Alors fais leur vivre un enfer. S'ils te craignent, tu demeures. S'ils te dominent, tu meurs.

J'étais déjà morte à l'orphelinat. Je ne me laisserai pas mourir une seconde fois.

derrière son écran...
Pseudo Norbert
Âge Un millénaire (ça rime)
Disponibilités 1 à 10 sur une échelle de 10.
Comment t'es arrivé sur le fo ? Heileen qui m'en a parlé. o/
T'en penses quoi ? C'est beaaau
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Mérida Faithlin
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X-Trem Factory (super)
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyMar 5 Jan 2016 - 19:59

OWIIII J'AI RÉUSSI A TE CONVAINCRE 8D
Welcome here ! >w< fight pour la suite de ta fiche et ta validation, j'espère que tu t'amuseras bien parmi nous ♥
-et un hug pour la route ! :D -
Invité
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Invité
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyMer 6 Jan 2016 - 13:26

TOUKAAAAAAAA
Toi je t'aime déjà ! ♥️

et ton pouvoir aussi en plus ;w;
Bref WELCOME
Bon courage pour ta fiche itout
elle est déjà biiiien en plus Lov
Citoyens
Hayden Myers
Hayden Myers
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Crédits : Moi même
Citoyens
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyMer 6 Jan 2016 - 18:50

HAAAAAAAAAAAAAAAAN TOUKA OwO

Bienvenueeeeeeeeeee! ♥
Bon courage pour ta fiche! >w<
Carvel & Son (super)
Junko D. Gotô
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Carvel & Son (super)
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyJeu 7 Jan 2016 - 16:27

sfdsfdggb ok je sens que ce perso va être... stylé. badass. tout ça. *_________*
BIENVENUE ICI Heart Heart bonne continuation *^* Heart Heart Heart Heart


edit ; ok love. #riend'autreàdire
X-Trem Factory (PDG)
Maxence Holmes
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X-Trem Factory (PDG)
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyVen 8 Jan 2016 - 14:20

Ton perso a trop de la gueule j'adore. 01
Bienvenue sur le forum ♥️
maman sadique
Seth J-C Agni
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maman sadique
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptySam 9 Jan 2016 - 12:37

OH.
MON.
DIEU.
J'AIME TA FAÇON D’ÉCRIRE DFGKSEGKIFGESKGFLIQZKGFLZSGFKIS Heart
Bienvenue à toi ! Ton perso est trop classe *Q* J'ai hâte de lire la suite Cheering
Farfallina (super)
Erwan I. Strösser
Erwan I. Strösser
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Crédits : Meera ♥ et Huyhiné ** (je vous aime)
Farfallina (super)
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptySam 9 Jan 2016 - 13:51

Bienvenue à toi, jeune âme, touka, elle est cool cette perso

Bon courage pour la suite
Paris-Brest crémeux
Romeo R. Eastwood
Romeo R. Eastwood
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Crédits : bibi pour cette fois
Localisation : Hiawatha
Paris-Brest crémeux
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptySam 9 Jan 2016 - 17:35

TOUKA.
Ce pouvoir pète la classe.
Et Carvel & Son nous faudra un lien y'a pas moyen.
ET TON STYLE D'ECRITURE SA MAMAN LE PAPIER PEINT J'ADHERE TOTALEMENT OMG OMG OMG.
Voilà. Ceci était du love en boîte, mais du love de luxe. Heart
Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  EmptyDim 10 Jan 2016 - 20:06

TOUKA ♥
Bienvenue !
J'adore ta façon d'écrire **
Contenu sponsorisé
MessageSujet: Re: au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST    au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST  Empty

au creux de ses mains atrophiées par la faim | BLAST
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