Jafar Salamâ Date d'inscription : 07/06/2017 Messages : 26 Dollars : 49 Crédits : jude de mon coeur
Citoyens | Sujet: #jafar #unicorn #yolo #swagg #disney #badass #perfection #terminée Mer 7 Juin 2017 - 21:56 |
| Jafar Salamâ On ne vit qu'une fois, il faut sourire, faire l'imbécile, faire des conneries et rire. En rire, et se rappeler pourquoi. You're human; Nom Salamâ Prénom(s) Jafar Âge 17 ans Surnoms Jaf' Orientation sexuelle Hétérosexuel optimiste Groupe Etudiant Sponsor Que dalle oui. Ce qu'il pense de la situation à Astrophel #BOUM #tropbien #génial #YOLO #costumetropswagg #kifftotal Métier Fouteur de merde Nationalité Brésilien Maybe, not totally; Super-pseudo Unicorn Pouvoir Picture Description du pouvoir Jafar peut donner vie à ses dessins. Dessiner des objets, et les rendre réels. Dessiner des animaux et les rendre vivants, pour peu cependant que ces animaux n’excède pas la taille d’un chaton. Oui, même pas un chat. Un chaton. Donc oubliez tout de suite le rinho hyper balèze. Ou la licorne. Oui, c’est triste. Et oui, c’est sa priorité actuellement. Ses dessins deviennent réels tels qu’ils ont été dessinés. Autrement dit, tout ce qui n’est pas visible n’existe pas. Comme par exemple les organes, sauf si la peau est transparente bien sûr. Oui c’est gore. Ou comme par exemple une arme à feu. Sans munition. Ses dessins peuvent rester réels entre trois et cinq heures, selon leur taille. Et sont évidemment extrêmement sensible à l’eau et au feu. Sauf s’il a dessiné sur un mur. Comme le gros thug qu’il est au fond de lui. Parce qu’un mur ça craint quand même moins la pluie que du papier, vous voyez ? Et ne parlons pas de la fatigue et de l’engourdissement des deux bras, particulièrement handicapant, lorsqu’il dessine trop. Costume Un déguisement carnavalesque de licorne rose. Gadget Un calepin et un stylo laser qui fait de la lumière. Un mini-kart mario. | ft. Monkey D. Luffy (One Piece) |
Tourner, tourner, virevolter sous les billets, tête renversée et cœur éclaté. C'était hier matin, et si l'on vit encore ce sera demain. Physique; Ecrire le physique d’un personnage de rp quand l’avatar est juste à côté et qu’il donne déjà une idée précise du machin, c’est comme épiler un cactus : c’est chiant et ça sert pas à grand chose. Aussi ferons-nous ce boulot ingrat sans nous casser le cul à entrer dans les détails et résumerons les choses ainsi : Jafar est ce que l’on appelle communément un BG. Un canon. Un mec sexy. Bref, il est beau quoi. La subjectivité de la beauté ? Je ne vois pas de quoi vous parlez voyons. Jafar a le physique cliché typique de son pays natal : surfeur bronzé et musclé toujours en bermuda. Et pour le coup, Jafar est effectivement un surfeur bronzé, moitié par le soleil, moitié par son métissage, et musclé, avec les tablettes de chocolat et les biceps bien développés. Et effectivement, sa tenue standard était le bermuda, avec tous les motifs possibles et imaginables, accompagnée d’une chemise ouverte, avec tous les motifs possibles et imaginables. Oui, Jafar correspondait au cliché du surfeur brésilien posé sur sa plage de sable blanc. A un détail près : il n’était pas blond. Dans les séries américaines, les surfeurs bg sont toujours blonds, toujours. Jafar est brun, l’honneur est donc sauf. Bien sûr Jafar ne se limite pas qu’à cela et il ne suffit pas d’être bronzé, musclé, brun et à moitié à poil pour être sexy. Même si ça aide. Il a aussi le sourire du bg, celui qui brille tellement que sa contemplation exige une paire de lunettes de soleil. Il a aussi la cicatrice virile qui fait bien sur son torse et qui rajoute à son sex-appeal, qui est là pour rappeler que le mec il a pas peur, il a des couilles et que c’est un warrior. Jafar, il a aussi la garde-robe de Barbie. Avec bien sûr sa collection de bermudas, de chemises et de tongs -parce que c’est sacré les tongs- mais pas que. Il a des costumes trois-pièces qui lui donnent tellement de charisme qu’à côté de lui l’agent 007 est aussi sexy qu’une serpillière. Et enfin, il y a sa collection de déguisements qui le rend fier comme un poux. Ses fringues de prince charmant, de princesses disney, de batman, superman et autres du genre, et surtout, la pièce maîtresse de sa collection, le trésor de sa garde-robe, son vêtement adaptable à toute situation (sauf quand il est a poil) : son costume de licorne. Caractère; Jafar est parfait, en tout point de vue. Il n’existe pas une seule personne au monde à ne pas être en accord avec ce fait. Si on ouvre un dictionnaire, à côté du mot perfection il y a sa photo. C’est tout. … … … … … … … … … … … … … … … … Wesh faut qu’j’développe c’est ça ? Sachez qu’y a pas un parent qui ne veuille pas l’avoir pour fils. Jafar est un adolescent agréable, extrêmement proche de sa famille. Dans l’genre « la famille, c’est sacré. si tu touches, tu meurs » cancer. Peu importe son âge, il ne dit jamais non à un câlin. Il est proche d’elle, n’a pas spécialement de secret à lui cacher. Il aime aider et jouer avec ses petites sœurs, c’est un grand frère exemplaire. Il a un grand respect pour ses parents, aussi grand que l’amour qu’il leur porte. Chose qui doit se rapprocher de la taille d’une géante bleue. Cet amour n’est entaché par aucun rejet, aucune rancœur ni rébellion adolescente. Jamais aucune insulte à leur égard n’a franchi ses lèvres. Peu les franchissent en réalité, peu importe contre qui. Il n’est pas un fils désobéissant, il se plie généralement de bonne grâce aux demandes et aux injonctions qui lui sont faits. Sachez qu’y a pas un mec qui ne veuille pas l’avoir pour ami. Jafar est un mec fidèle en amitié (en amour aussi), toujours là quand on a besoin de lui, toujours près à soutenir même pour a plus petite chose. Il aime sortir, à n’importe quelle heure, et adore s’amuser. C’est un grand enfant par moment. Il est très social, n’ayant aucune difficulté pour se lier aux autres. Il parle facilement, il sait détendre et mettre à l’aise ses interlocuteurs. Avec son énergie débordante et son grand sourire lumineux, c’est quelqu’un qui attire facilement les personnes vers lui. Sachez qu’y a pas une meuf qui ne veuille pas l’avoir pour petit copain. Jafar est un mec fidèle en amour (comment ça je l'ai déjà dit ?), extrêmement prévenant envers la personne qu'il aime, extrêmement attentif. Il est romantique et galant, le parfait prince charmant des temps modernes, qui n'hésite pas à employer de grands moyens. Le dîner au chandelle avec rose rouge et musique douce, c'est son genre. C'est un adolescent bavard, qui n'a ni difficulté ni honte à mettre des mots sur ses sentiments dans de grandes phrases grandiloquentes. Sachez qu'y a pas un Imam qui ne veuille pas l’avoir pour pratiquant. Jafar est un fervent croyant, sans pour autant tomber dans l’extrémisme. Il éprouve un grand respect pour les règles saintes et le livre sacré, et prend garde à appliquer ses préceptes au quotidien. Bien sûr, il sait les adaptés à son époque pour la plupart. Sachez qu’y a pas un professeur qui ne veuille pas l’avoir pour élève. Jafar est un adolescent attentif et d’un sérieux relatif. Il prend à cœur ses études, particulièrement au vue de ce qu’il veut faire une fois adulte et diplômé. C’est un garçon intelligent et vif, qui sait assimiler les choses avec rapidité et qui n’éprouve pas de difficulté particulière. Conscient de l’importance qu’ont les études, il se donne à fond pour réussir et n’a pas à se reprocher la moindre paresse. Bref, il est parfait. A un petit détail près en fait. Jafar est un adolescent.A chaque âge, sa raison. A chaque raison, son voyage. A chaque voyage, son détour. A chaque détour, son aventure. A chaque aventure, sa découverte. A chaque découverte, l'envie de recommencer. Histoire; Dans la famille d’Ali, il y avait une coutume ancestrale. Le genre qui vous collait à la peau depuis deux ou trois siècles et qui avait tendance à vous pourrir la vie si jamais vous en deviez. Non en fait, il y avait plusieurs coutumes ancestrales, comme dans beaucoup d’autres familles de la région, mais on ne va en parler que d’une pour faciliter les choses. De toute façon, il n’y en n’a qu’une qui nous intéresse. Cette coutume, c’était de se marier avant ses 20 ans de préférence. Et attention, il ne s’agissait pas d’aller convoler avec la première donzelle venue. Non. Il y avait une liste de critères longues comme le bras à respecter. Parmi lesquels la virginité de la jeune demoiselle et son appartenance à la communauté religieuse musulmane. Aussi, lorsqu’Ali décida d’aller faire sa vie en Amérique latine à l’âge canonique de 24 ans parce que de toute façon c’était son frère aîné qui allait reprendre l’affaire familiale, et le tout sans la moindre fiancée à l’horizon, ça fit jaser. Lorsqu’il revint à la maison avec une fiancée neuf mois plus tard, ça fit hurler. Parce que Maria ne correspondait pas tout à fait aux critères requis, et si Ali s’en fichait éperdument lui, grâce au pouvoir de l’amour, que Maria ait la peau foncée, qu’elle ne se couvre pas la tête et qu’elle aille prêcher Jésus Christ dans une église, il n’en fut pas de même pour le reste de sa famille. Si ses frères et soeurs le prirent avec un certain pragmatisme, son père, lui, manqua de s’étrangler à la vue de la brésilienne, sa mère hurla et ne parlons même pas des grands-parents. La semaine passée au sein de la famille Salamâ fut tendue, mais ils s’en sortirent sans trop de mal, bien que les échanges téléphoniques qui suivirent s’espacèrent doucement. Quelque peu chagriné, cela n’empecha nullement Ali d’épouser en grande noce sa Maria, et après avoir débattu sur un voyage de noce au Canada ou en Thaïlande, ils se rendirent en Norvège. Un peu moins d’un an après le mariage naquit au Brésil leur premier enfant, un petit garçon qui entraina nombre de questions. Lui donner un nom arabe, chrétien ou sans connotation religieuse ? Fallait-il le baptiser ? Fallait-il le circonscrire ? Dans quelle religion l’élever, selon quels préceptes ? Ils passèrent les mois précédents la naissance à s’interroger, avant de trouver un accord. Leur premier enfant serait élevé en enfant chrétien, le second le serait en musulman. Plus tard ensuite, ils les laisseraient choisir. L’aîné fut donc nommé Eliel et baptisé. L’année suivante, un autre bébé vit le jour. Il fut nommé Jafar et circoncit. Dans cette histoire, c’est lui qui nous intéresse. Quand Jafar eut trois ans, deux évènements boulversèrent son quotidien tranquille. Le premier fut la naissance de sa petite soeur Jùlia, un poupon caramel à grosses joues. Le deuxième évènement fut le départ de son père pour l’Afrique, dans le cadre de son travail, en tant qu’assistant d’ambassadeur. Sa femme et ses trois enfants partirent avec lui, Maria se consacrant alors à ses enfants. Ils vécurent en Angola durant trois ans. Maria donna naissance à sa fille Amel la dernière année de leur séjour là-bas. Durant ces quelques années, Jafar partagea sa religion avec son père, développant peu à peu une foi qui ne le quitta jamais. Il y développa également un début de passion pour le dessin auprès de sa mère, bien qu’alors cela se résumait à tremper ses mains dans la peinture et laisser des traces partout où il le pouvait ; ses feuilles, les murs de la maison, ses vêtements, les joues de son frère, les couches de ses soeurs, etc. L’année de ses six ans, ils retournèrent tous au Brésil, auprès de la famille de sa mère. Maria, bien qu’enceinte de son cinquième enfant et adorant les quatre premiers, se mit à rechercher activement un travail, délaissant la vie de mère au foyer et confiant en partie la garde de ses enfants à sa mère, Naledi. Quelques mois après leur retour au pays naquit Ana-Luiz, puis un peu moins d’un an plus tard ce fut au tour de Yasmine, la dernière enfant de la fratrie. Eliel, Jafar et Jùlia étaient en âge d’aller à l’école, et socialisaient et apprenaient à lire et écrire dans la paix et la bonne humeur. Jafar avait appris que peindre et dessiner sur les murs et sur les gens n’était pas très correct et qu’il devrait se contenter de feuilles blanches en attendant d’être un artiste reconnu et de pouvoir faire n’importe quoi sans que quelqu’un ne vienne lui en faire des reproches. Bien sûr, il apprit aussi à écrire, lire, compter, réciter sa poésie et faire n’importe quoi. Oui je sais, il aurait pu se passer de l’avant-dernière compétence. Jusqu’à ses onze ans, sa vie fut des plus normales. Il n’aimait l’école que pour les amis qu’il y retrouvait, il n’était pas un grand travailleur, sauf lorsqu’il avait une très bonne motivation derrière comme par exemple le dernier pokémon, mais parvenait à avoir des notes honorables. Il faisait de nombreuses bêtises avec son frère et ses soeurs, les entraînant ou se faisant entraîner dans des aventures impossibles et prenait de façon assez régulière des fessées de la part de sa mère. Il apprit à ne plus se faire prendre, ou en tout cas moins souvent. Sa passion pour le dessin l’avait mené aux Beaux-Arts et régulièrement dans la maison les murs disparaissaient sous les dessins lorsqu’il n’était pas occupé ailleurs. Sa mère s’était trouvé un travail dans un laboratoire, et son père avait continué de voyager dans le monde sur de plus ou moins longues périodes, faisant que ses enfants ne le voyaient pas assez souvent à son goût en vrai. L’écran de l’ordinateur était bien beau, mais ne remplaçait jamais le vrai. Puis l’année des onze ans de Jafar, Ali fut envoyé aux Etats-Unis en tant qu’ambassadeur du Brésil, de façon permanente. Mais contrairement à sa mutation précédente en Angola, sa famille ne le suivit pas cette fois-ci. En dépit de tout l’amour qu’elle éprouvait pour son époux, Maria refusait de quitter le travail où elle se plaisait tant, refusait de partir dans un pays dont elle maîtrisait mal la langue, et refusait de déraciner encore ses enfants alors qu’ils étaient jeunes et avaient tous leurs repères au Brésil. Ali partit donc, laissant un plus grand vide dans la maison qu’il n’en n’avait laissé jusque là. Il ne revenait que peu en raison de ses obligations, et l’ambiance chez la famille Salamâ se détériora assez rapidement. Ce fut alors que Jafar et Amel mirent au point un complot. Une opération ultra-secrète qui avait pour unique but de ramener le rire dans la maison. Seulement, respectivement onze et six ans c’était un peu jeune pour mener une opération commando, et l’échec fut critique. Amel s’en sortit sans trop de mal, Jafar frôla le fatality et termina à l’hôpital. Il en garda le souvenir d’une cicatrice sur sa poitrine et de l’engueulade monumentale de sa mère lorsqu’il se fut réveillé. Il plomba un peu plus l’ambiance de la maison et bénéficia d’un séjour de deux semaines dans sa chambre d’hôpital. Exceptionnellement, son père revint au Brésil, et il se prit la première engueulade paternelle de sa vie. La vraie, celle qui faisait totalement passer l’envie de faire le con. Et Jafar la perdit, l’envie de faire le con. Pour quelques mois en tout cas, le temps de guérir totalement, puis de s’assurer qu’il réfléchirait un peu plus à ses projets. Lorsqu’il eut quinze ans, sa vie connue un nouveau bouleversement, heureusement moins dangereux que le précédent, même si connaissant son fils Maria en doutait un peu. Voir les dessins de son fils devenir réel était autant de potentialités dangereuses, même si pour l’heure ça se limitait surtout à des papillons, des étoiles, des paillettes et des robes de Barbie pour amuser ses petites soeur. Jafar avait une imagination débordante, du genre envahissante qui donnait trop d’idée par jour, au point que l’adolescent avait un calepin entier marqué des idées qu’il avait eue et qu’il n’avait pas encore eut le temps d’appliquer. Constatant que l’un de leur enfant avait un pouvoir, Ali et Maria avaient dû se consulter à propose de son avenir. Ils avaient le choix, laisser Jafar dans sa situation actuelle, au Brésil, et le laisser apprivoiser son pouvoir tout seul, ou l’envoyer aux Etats-Unis où il pourrait bénéficier d’un encadrement pour ne pas devenir une potentielle catastrophe ambulante. L’inquiétude parentale et l'excitation juvénile de l’adolescent lorsque lui fut présenté le choix décidèrent vite pour le voyage en Amérique du Nord. Demeurait seulement un petit soucis : l’anglais très rudimentaire de Jafar. Ses parents lui donnèrent un an. Un an pour qu’ils puissent s’occuper correctement de son inscription à l’Académie d’Astrophel, pour qu’ils puissent organiser son installation dans la ville. Jafar ne vivrait pas avec son père, celui-ci travaillant à Washington. Il avait aussi un an, surtout, pour apprendre à comprendre et parler anglais suffisamment pour pouvoir se débrouiller. Comme déjà dit, Jafar n’était pas un grand travailleur à moins d’avoir une bonne motivation. Il en avait une : aller vivre dans une ville remplie de Héros et de Vilains, et étudier dans l’école la plus spéciale du monde. Autant dire qu’il carbura. Certes, il ne devint pas bilingue, mais s’en sortait bien assez. Lorsque vint le moment de partir, l’année suivante, il reçut une deuxième motivation : une menace de ses parents. S’il ne maintenait pas des résultats impeccables, il serait rapatrié à la maison. S’ils apprenaient qu’il s’amusait un peu trop à faire le con, il serait rapatrié à la maison. A seize ans, Jafar se retrouva donc seul, ou presque, dans la ville d’Astrophel, un mois avant la rentrée scolaire pour pouvoir s’acclimater un peu à la ville et au pays avant. Pas tout à fait seul, car pour ce premier mois son grand-père avait décidé de l’accompagner pour s’assurer que la transition de “vivre en famille” à “vivre tout seul” se fasse en douceur. Puis un mois plus tard, Jafar fut seul et entama sa nouvelle scolarité. Les premiers temps furent très drôles, avec du recule. L’anglais parlé couramment autour de lui avait assez peu à voir avec l’anglais qu’il avait apprit, le débit était infernal, et son accent portugais empêchait en partie les autres de le comprendre. Il lui fallut un nouveau temps d’adaptation, et fut particulièrement occupé durant cette période. Puis, lorsqu’il fut certain d’être dans une situation stable, il put reprendre ce qu’il savait faire de mieux : des conneries à l’epicness galactique. | derrière son écran... Pseudo Zephyy, Alma, ou Clémence, choississez ! Âge 21 ans Disponibilités Très variable et irrégulière Comment t'es arrivé sur le fo ? Y a ma tronche sur la PA 8D T'en pense quoi ? #Perfection Code du règlement AUTO-VALIDATION DE LA MOOOOOOORT |
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