avatars manga ☆ rp libre ☆ combats au rendez-vous ☆ venez participer ! on est gentils (⦿ ‿ ⦿)
Le PDG de la X-TREM Factory entretiendrait une relation des plus intenses avec sa vice-présidente. On espère que ce n’est pas cette affaire qui a distrait l’ancien Phoenix de son travail et qui a entraîné un manque de sécurité lors de la dernière conférence de presse de l’entreprise où à eu lieu une explosion causant la mort d’un de ses haut-gradés...
Le mystérieux « Mist » dont l’apparition soudaine a récemment secoué la ville serait en fait une association de trolls désoeuvrés voulant profiter de la panique des récents attentats pour gagner plus de popularité sur les réseaux sociaux.
Il paraîtrait que le fondateur de la ville Edward Astrophel aurait été le descendant direct de Diogène, le philosophe grec qui vivait dans un tonneau. Incroyable !
« Hey hey hey ! Comment allez-vous chers téléspectateurs ? C’est moi, Hank Emery, votre présentateur préféré ! Je vous souhaite la bienvenue sur notre tout nouveau terrain de jeu : la célèbre Astrophel City ! L'émission vient de commencer, vous n'avez rien loupé rassurez vous ! Les candidats viennent d'apprendre qui sera leur cher et tendre pour la suite des évènements et leurs réaction sont pour le moins....satisfaisantes !
Pour ceux qui ne connaissent pas encore le concept de la Maison de l'Amour –vivez-vous dans une grotte ?? (rires)– nous allons rappeler les règles de l'émission !
Pendant une semaine, les couples formés par les candidats devront vivre ensemble et participer à des épreuves tirées au sort. Ces épreuves seront au nombre de deux à trois par jour, coordonnées par notre MJ adoré qui se fera d'ailleurs un plaisir de venir pimenter le jeu de temps à autres, pour le meilleur et pour le pire. Passé vingt heure, le couple devra rentrer dans leur Maison de l'Amour respective (un appartement pour deux personnes agencé par votre staff dévoué et bien entendu truffé de caméras pour satisfaire vos yeux curieux, à l'exception évidente des toilettes et de la salle de bain car nous sommes des voyeurs de bon goûts, voyez-vous).
Chaque épreuve, donnera aux candidat un certain nombre de love points relatif à la qualité de leur prestation. Le couple qui aura remporté le plus de love points à la fin de l'émission sera le duo vainqueur, et nos deux tourtereaux pour rentrer chez eux avec 100.000$ à se partager, et un voyage d'une semaine pour deux, tous frais payés, à Bora Bora !!! Souhaitons-leur bonne chance les amis ! »
PNJ Events a écrit:
▬ Le MJ, en plus de coordonner vos épreuves, a le droit de venir chambouler le jeu en vous offrant la possibilité de tirer une carte dans son paquet surprise. Si la carte est rose, vous recevez un avantage, si elle est noire, un handicap. ▬ Puisque cette édition de l'émission a été fortement financée par les sponsors, il est possible que votre personnage y participe sous son identité de Super si vous le voulez. ▬ Vous pouvez entamer le rp au moment de l'annonce des couples formés (tout le monde se tient présent sur le plateau et le présentateur de l'émission vous énumère les noms de chaque couple) ; votre première épreuve vous sera donnée après un ou deux échanges de réponses. ▬ Bonne chance les amoureux ♥
A. Blair Phoenix
Date d'inscription : 10/10/2017 Messages : 62 Dollars : 56 Crédits : moi hihi.
« ... et s'il vous plaît mesdames et messieurs, un tonnerre d'applaudissement pour la magnifique Stardust et son partenaire Crimson ! »
Tu entends ton nom et automatiquement un sourire espiègle se dessine sur tes traits. Avec le professionnalisme qu'on te connaît, tu rentres immédiatement dans ton rôle et salues le public, en envoyant des baisers à la foule avec plus d'entrain que nécessaire.
Et tu t'avances, avec une démarche qui trahirait presque ton habitude de fréquenter les podiums, et tu es rapidement rejointe par ton partenaire -tu aimes bien ce qualificatif, tu as toujours pensé qu'il vous correspondait bien.
Lorsqu'il arrive à ta hauteur, tu lui lances un de tes clins d’œil signature ; et au loin votre fanbase pousse un cri hystérique à l'unison.
« My darling. »
L'accent anglais résonne mais lui seul l'entend. Et devant la moue qu'il tire, tu ne peux t'empêcher d'éclater de rire.
« Je t'ai manqué, j'espère ? »
Tu feins une petite moue suppliante, et quand enfin il décide de se tourner vers toi, tu te rappelles enfin pourquoi tu es toujours si excitée dès qu'il est dans les parages. Sa présence a comme le goût du défi et de l'aventure -tout ce que tu aimes le plus dans la vie.
Tu te tournes vers les autres. Beaucoup de visages te sont inconnus mais tu en reconnais certains -sauf que tu ne peux pas leur adresser de signe, pas en tant que Stardust. C'est dommage parce que Mia est vraiment belle et que tu aurais bien rigolé avec elle lorsque son nom est suivi de celui de la petite starlette de la soirée.
Tu te penches vers Crimson, ton bras toujours agrippé au sien -tu sais que ces photos vont se retrouver sur tous les réseaux sociaux dans l'heure qui suit et c'est pour ça que tu t'amuses bien à être la plus jolie possible- et te penche vers lui.
« Cher Crimson, C’est avec le plus grand honneur que la maison X-TREM Factory vous confie une de nos plus importantes missions de communication entre l’entreprise et le public. Votre participation à cet évènement a été fortement approuvé par l’ensemble des employés, et nous n’avons pas le moindre doute quant à votre capacité à faire honneur au nom de la X-TREM Factory en cette occasion.
La semaine prochaine, vous ferez vos début sur le plateau de la nouvelle émission de télé-réalité « La Maison de l’Amour », sponsorisée à près d’un tiers par l’entreprise. Nous comptons sur vous !
—Mr. Holmes, Directeur Général de XTF. »
Quand il avait trouvé cette lettre dans son casier en remontant d’une séance de sport dans les locaux de la Tour d’Eden –qui était déjà quasiment entièrement rénovée depuis que les bombes de ces enfoirés de terroristes avaient fait leur ravages– Ronan avait d’abord cru à une blague de très mauvais goût. Il avait demandé à tous les employés qu’il avait rencontré sur son chemin s’ils étaient les instigateurs de cette farce, mais leurs réactions suspicieuses avaient fini par confirmer l’horrible pressentiment qu’il avait tenté de refouler jusque là. Ce n’était pas qu’une blague, et c’était cet enfoiré de Maxence qui avait fait le coup. Bien évidemment, Ronan ne s’était pas privé de pousser une gueulante dans le bureau de son supérieur –mais à part le faire bien ricaner, ça n’avait pas été très efficace. Pire ; il avait su le convaincre de participer en lui faisant miroiter une potentielle prime s’il jouait le jeu. Et Ronan, il n’avait pas beaucoup de dignité quand on lui promettait de l’argent –il préférait qu’on pense ça de lui plutôt que d’admettre que quelque part, s’il pouvait servir à faire rire Maxence et le reste de XTF le temps d’une semaine, histoire d’oublier momentanément les horreurs qu’ils avaient vécu, alors il voulait bien endosser le rôle du clown de service ; histoire de se sentir utile pour une fois.
Il n’empêche que lorsqu’une semaine plus tard, il se trouvait planté comme un abruti dans son costume de Crimson, au milieu de tous les autres participants –il en avait d’ailleurs reconnu certains, notamment un blondinet qui lui avait donné de légers frissons dans l’échine à cause des mauvais souvenirs que sa présence avait fait remonter– il s’en voulu d’avoir fait preuve d’altruisme envers ce connard de PDG qui allait bien se foutre de sa gueule bien installé devant sa télé.
« …et s'il vous plaît mesdames et messieurs, un tonnerre d'applaudissement pour la magnifique Stardust et son partenaire Crimson ! »
Et quand il réalisa qu’en plus, il allait devoir se coltiner Miss Paillettes pendant toute une semaine, il eu une soudaine envie de hurler. Qu’on l’achève, vite.
« My darling. — Stardust, fit-il d’un ton stoïque en évitant le regard volontairement séducteur de la demoiselle qui venait de s’approcher de lui, ignorant les cris d’hystérie des fans en chaleur dans les gradins. — Je t'ai manqué, j'espère ? »
Ronan leva les yeux au ciel et poussa un soupir excédé qu’elle seule pouvait entendre –pour une fois cela l’accommodait que le scénario qui avait été arrangé entre eux faisait de lui le dur à cuire impossible à attendrir. Quand elle lui attrapa le bras, et qu’une nuée de flash d’appareils photo l’éblouirent pendant une seconde, le dur à cuire sentit pourtant un frisson dans son estomac –faiblesse passagère ou peut-être que le manque se faisait sentir déjà.
« Toi, tu m'as manqué. Un peu. — Du coup t’as fait pression aux producteurs pour qu’on nous colle ensemble, c’est ça ? fit-il d’un ton hautement sarcastique en baissant les yeux vers sa nouvelle partenaire, un rictus narquois étirant ses lèvres. »
Il ne se défit cependant pas de son étreinte, se contentant de faire avec tandis que les autres couples étaient énoncés. À ce stade il avait envie de se dire qu’il ne pouvait plus rien arriver de pire, mais c’était risquer de tenter le diable s’il le formulait à haute voix. Et maintenant ?
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A. Blair Phoenix
Date d'inscription : 10/10/2017 Messages : 62 Dollars : 56 Crédits : moi hihi.
Tu peux sentir ses muscles se tendre à travers son costume et ça t'arrache un sourire. Après toutes ces années à vous mettre sur la gueule au nom des sponsors il était temps qu'on vous réunisse pour autre chose que le petit jeu du chat et de la souris spécialement scénarisé pour vous.
« Oh, tu sais bien que c'est pas mon genre. » Ton rictus mime le sien. Je préfère me dire que c'est le destin. »
On ne peut pas vraiment savoir si tu es sérieuse ou si tu manies très bien le sarcasme. Pourtant tout le monde sait bien qu'il n'y a pas de destin car tout ici est une pure comédie ; mais cela ne t'empêche pas de t'amuser et de faire rêver. Et au fond, n'est-ce pas tout ce qui compte ?
« C'est l'occasion d'apprendre à se connaître plus... c'est quoi le mot, déjà ? C'est toi qui te penches vers lui, cette fois. Intimement ? »
Tu observes la moindre réaction à travers les faux cils épais qui cachent tes iris dorés. Et tu te mets à imaginer, pendant quelques secondes, à quoi pourrait ressembler ton Crimson lorsque les rideaux sont fermés ; si, dans la "vraie vie", vos chemins auraient pu se croiser.
C'est la première fois que tu y songes et tu balayes l'idée presque immédiatement. Non, tu préfères ne pas y penser.
« J'ai vraiment hâte que ça commence. »
Ce n'est qu'à ce moment que tu décides de reprendre une distance raisonnable. Parce que tu as beau te complaire dans ce rôle factice, la tension qui a toujours régné entre vous est réelle et ce n'est que maintenant que tu le réalises ; dans le souffle que tu retiens maintenant que vous êtes si proches et dans ton cœur qui bat un peu plus vite que ce dont tu as l'habitude.
Parce que d'habitude, il suffit de lui mettre un chassé dans le ventre pour qu'elle se dissipe. Mais là, on t'a clairement dit que ce n'était plus le même genre de jeux que vous alliez jouer.
« Oh, tu sais bien que c'est pas mon genre. Je préfère me dire que c'est le destin. »
Le jeune homme eut un ricanement désabusé –le destin, quelle belle connerie.
« C'est l'occasion d'apprendre à se connaître plus... c'est quoi le mot, déjà ? Lorsqu’elle se pencha vers lui, Ronan eu un infime mouvement de recul, comme si la jeune femme était entrée trop précipitamment dans son espace vital ; ou comme si le fait qu’elle se tienne trop près de lui le bouleversait plus qu’il ne voulait l’admettre. Intimement ? — Tu vas commencer par calmer tes hormones avant de vouloir être intime avec moi s’il te plaît, fit-il d’un ton railleurs ; depuis le temps, elle était sûrement habituée à ses piques cinglantes, et aux yeux de Ronan ce n’était que vengeance bien méritée en échange des coup de lattes qu’elle pouvait lui asséner en profitant de l’énorme avantage qu’était son pouvoir. — J'ai vraiment hâte que ça commence. — T’es bien la seule. »
Il se sentit néanmoins respirer un peu plus aisément quand Stardust s’écarta de lui, et quelque part au fond de lui, cela le perturbait qu’une relation censée être factice au possible puisse lui provoquer ce genre de sensations –physiques et bien réelles. Il refoula ces pensées intrusives afin de se concentrer sur le présentateur qui avait fini de présenter chaque candidat à son ou sa partenaire d’une semaine et se commença à énoncer les règles du jeu. Quand il précisa en vitesse que chaque couple allait devoir littéralement vivre ensemble pendant toute la durée du tournage, Ronan déglutit de travers et s’étouffa presque devant les caméras.
« C’est une blague ?! il commença à s’indigner, s’attirant quelques regards intrigués, avant de se reprendre et de finir de rouspéter d’un ton plus bas. Putain de Phœnix de mes couilles… »
Il eu un regard de travers en direction de sa binôme, tentant de se figurer comment ils allaient pouvoir vivre ensemble durant toute une semaine sans dévoiler leurs vraies identités respectives à l’autre ; ses pensées divaguant légèrement, il se demanda pour la première fois quelle genre de personne elle pouvait bien être sous cette personnalité de super-vilaine. Quand elle croisa son regard, Ronan eu un mouvement de tête, comme pour se dire de cesser de se laisser aller.
« Si jamais on est obligés de dormir dans un lit double Stardust, tu pourras te brosser pour que j’te le laisse. »
Chacun pour soi et pas d’pitié.
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PNJ Events
Date d'inscription : 08/02/2015 Messages : 70 Dollars : 102
Chers candidats, avez-vous eut le temps de faire connaissance ? J’espère que oui, car il est à présent temps de passer à la suite ! Une pièce derrière la scène vous attend. C’est là que va débuter votre histoire d’amour. A l’intérieur ? Une simple table avec dessus une clé magnétique –celle de votre chambre-, une paire de menottes à fourrure rose. Votre objectif ce soir, découvrir ce qui sera votre lieu de vie pour la semaine.
Le vrai jeu commencera demain. Serez-vous prêt à faire face aux épreuves ?
A. Blair Phoenix
Date d'inscription : 10/10/2017 Messages : 62 Dollars : 56 Crédits : moi hihi.
Quand ton partenaire s'indigne, tu ne peux t'empêcher de pouffer. Toi, tu échangerais ton travail pour rien au monde. Après tout, qu'y a-t-il de mieux qu'être payée pour faire tout ce que tu aimes dans la vie -t'amuser, faire chier les gens et leur donner de quoi t'adorer encore plus ?
« T'as pas intérêt à faire la gueule si on se bat pour rien et que je te colle encore une raclée. »
Tu es tout sourire quand enfin la cérémonie des couples est terminée ; et déjà ils n'existent plus pour toi. Tu t'accroches au bras de Crimson non sans lui lancer un regard malicieux qui dit « arrête de faire la gueule au fond je sais que tu m'aimes » puis te tourne vers la foule pour les saluer une dernière fois avant d'entraîner ton binôme avec toi dans la salle dans laquelle vous êtes invités à vous rendre.
C'est avec une excitation non dissimulée que tu t'élances dans la pièce, en tirant Crimson qui râle mais que tu refuses de lâcher, parce que c'est beaucoup trop drôle d'être excitée pour deux.
Mais quand tes yeux se posent sur la table, tu te rappelles que votre partenariat va au-delà d'une simple télé-réalité.
Vous êtes Crimson et Stardust ; et vous êtes des rivaux. Tu actives ton pouvoir pour lui retirer la vue et t'empares des menottes. Puis ce n'est qu'une fois que tu as fait le tour de la table pour lui faire face que tu lui rends la capacité de voir qu'il vient de perdre la première manche de votre petite guerre.
« On dirait que c'est toi qui va dormir au pied du lit, tu lui lances en faisant tourner les menottes autour de son index. Tu nous ouvres la porte, my darling ? »
« T'as pas intérêt à faire la gueule si on se bat pour rien et que je te colle encore une raclée. — Qu’est-ce que tu dis ? Désolé je parle pas le cassos… »
Il avait le choix entre ne rien répondre pour ne pas donner à Stardust la satisfaction d’avoir touché un point sensible ou s’armer de sa langue de vipère pour feindre un désintérêt total ; comme ce n’était que le début, il avait vite fait son choix.
La cérémonie de répartition des couples touchant à sa fin, on les invita –et par "invita" il fallait comprendre "ordonna"– à se rendre juste tous les deux dans une salle à l’arrière du studio. Une fois à l’intérieur, Ronan déglutis difficilement devant la décoration outrancièrement rose et kitsch, si bien qu’il ne fit pas tout de suite attention à ce qui trônait devant leurs yeux sur un petit présentoir. Soudainement, le noir se fit, et après une micro-seconde de panique il compris qui était derrière sa cécité momentanée.
« Putain t’es sérieuse là ?? — On dirait que c'est toi qui va dormir au pied du lit… Le jeune homme retrouva la vue et son regard se posa sur la demoiselle en face de lui, un sourire narquois s’étirant d’une oreille à l’autre sur le visage et une paire de menottes roses en peluches en main –oh seigneur– Tu nous ouvres la porte, my darling ? »
Ronan ouvrit la bouche, prêt à rétorquer une vacherie, mais la referma quand il devina une petite carte sur la table, accompagnée de ce qui semblait être une clé magnétique que Stardust n’avait pas du voir en attrapant les menottes. Il s’en saisit et ne sut s’il était soulagé ou encore plus frustré une fois les indications du cartel déchiffrées.
« Navré de mettre un terme à tes fantasmes sado-maso mais je crois qu’on est censés être attachés l’un à l’autre, my darling, fit-il en appuyant l’ironie sur les derniers mots. Et comme on ne nous donnera probablement pas l’emplacement de notre piaule pour la semaine avant qu’on s’en soit occupés… »
Il ne prit pas la peine de terminer sa phrase et se contenta de s’approcher d’un pas vif et fluide de Stardust et lui arracha les menottes des mains pour glisser les anneaux sur leurs poignets respectifs avant qu’elle n’ait le temps de l’embêter plus encore.
« Si j’avais l’air pressé d’te passer l’anneau au poignet surtout ne te méprends pas, fit-il nonchalamment en testant sur son poignet s’il n’avait pas trop serré les crans des menottes –il avait pris soin de faire attention pour elle mais s’était plus précipité pour ce qui le concernait. J’ai juste envie d’en finir et d’avoir cette putain de chambre pour pouvoir aller pisser. »
Est-ce qu’il allait prendre un malin plaisir à être le type le plus insupportable de la compétition pour se venger de l’énorme avantage qu’avait sa partenaire sur lui à cause de son pouvoir ? Oui. Absolument oui.
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PNJ Events
Date d'inscription : 08/02/2015 Messages : 70 Dollars : 102
Vous voici désormais liés l'un à l'autre par les liens sacrés de la télé-réalité – nulle part il n'est fait mention des clefs, ni d'un quelconque espoir de liberté. L'entreprise est floue, libre à vous – et aux téléspectateurs en folie – d'imaginer votre sort à venir.
Mais tout d'abord – tout d'abord, avant de songer à votre histoire, découvrez le décor de vos badinages : une chambre aux murs crème et blanc cassé, lumières tamisées par des abats-jours rouge vif qui vous rappelleront sans doute les sucreries de votre enfance ((mais si, ne niez pas ; vous vous rappelez très bien de ces sucettes taillées en coeur qui vous coloraient les lèvres et la langue)). Sur le plancher couleur de sable clair, tapis de velours carmin, et aux fenêtres rideaux de lin opaques, parsemés de fils rouges, brodés de coeurs si fins qu'il faut s'approcher pour en deviner les détails. Sur les tables de nuit, bougies grenat allumées – dans l'air douce odeur sucrée.
Au centre de la pièce, le fameux, l'imposant, l'attendu ou le plus craint : lit de couple aux draps lissés, linge léger, couleurs épurées – les broderies vermeil sont fines, les jeux de lumières au plafond tissent des reflets pourpres sur les tissus délicats. Oh, vous l'appréhendiez, celui-ci, n'est-ce pas ?
Dans le coin de la pièce, renfoncement discret – une porte à la dérobée mène aux commodités, salle de bain sobre et moderne, grands miroirs et belles lumières ((puisqu'il faut mettre l'heureux.se élu.e en valeur et de bon matin pour les mirettes amoureuses)).
Le voici donc, désormais sous vos yeux et ceux des spectateurs – le théâtre de votre idylle.
A. Blair Phoenix
Date d'inscription : 10/10/2017 Messages : 62 Dollars : 56 Crédits : moi hihi.
C'est à ton tour de froncer les sourcils, quand il t'arrache les menottes des mains. Tu choisis de le croire sur parole -t'es naïve comme ça, Blair- et baisse les yeux vers vos poignets lorsqu'il s'affaire à la lourde tâche de vous lier l'un à l'autre pour toute la durée de l'aventure. Puis tu te risques à lever les yeux pour le regarder, lui, et c'est à nouveau un sourire qui prend place sur ton visage. Tu t'approches et entre à nouveau dans son espace personnel, avant de lui susurrer à l'oreille.
« Ouais, c'est ce qu'on dit. »
Une porte s'ouvre juste derrière vous, coupant court à toute possibilité de démarrer une querelle supplémentaire. Tu fais volte-face, et te précipite dans la nouvelle pièce, mais ton élan est vite coupé par Crimson, bien moins enthousiaste que toi -et heureusement pour vous, la fourrure des menottes vous empêche de vous blesser. Tu lances tout de même un regard mauvais en direction de ton binôme, mais ce qu'il y a de l'autre côté du palier détourne presque immédiatement ton attention.
Vous vous avancez, toi avec une expression émerveillée collée au visage, et lui avec son habituel air blasé, entre le dédain et l'exaspération. Ta bouche s'ouvre en grand, et tu sautilles sur place en poussant un cri à en déchirer les tympans, si aigu que les carreaux des vitres en tremblent presque.
« Oh non c'est adorable ! »
Ça te rappelle le dernier show que Victoria's Secret a organisé lors de la Saint-Valentin passée, et tu t'es tellement amusée ce soir-là que ça te fait plaisir de devoir évoluer dans un environnement aussi kitsch pour le reste de l'émission.
Profitant d'avoir déstabilisé ton partenaire sans même avoir eu recourt à ton pouvoir, tu t'élances vers le lit et entraînes Crimson avec toi, en tirant de toutes tes forces pour qu'il suive le mouvement. Et quand tu bondis pour t'écraser sur le matelas, tu ne peux t'empêcher de te dire qu'il va te détester -et à cette pensée, tu éclates de rire.
Parce que, ironiquement, ça te donne envie de continuer. Tu lèves le bras et attrape à l'aveugle la première chose qui vient -un oreiller.
« Détends-toi un peu ! »
Le geste est d'une violence pas nécessaire ; tu lui assène le coussin sur le visage.
Ça te fait rire aux éclats ; et alors que tu t'apprêtes à t'enfuir pour échapper à de quelconques représailles, tu es retenue par le gadget maudit qui vous lie physiquement l'un à l'autre.
Un hoquet de surprise met fin à ton rire espiègle, mais tes réflexes prennent le dessus. Au lieu d'attendre de te prendre un retour dans la figure, tu choisis de frapper en premier. Tes longues jambes s'emmêlent dans les siennes pour l'éloigner momentanément de toi, et tu lui attrape les poignets pour le faire basculer et le clouer contre la surface moelleuse du matelas.
« C'était pour rire... tu lâches, essoufflée par l'effort que tu mets pour le maintenir immobile. »
Quand il te regarde comme ça -avec beaucoup de haine, mais aussi d'autre chose sur lequel tu ne mets pas le doigt- tu as deux envies bien contradictoires ; lui coller un pain dans la figure ou lui arracher son costume. Mais tu te retiens de faire l'un ou l'autre, et une idée t'effleure l'esprit. Et comme il n'y a pas de filtre entre ton cerveau et ta bouche, elle sort presque immédiatement.
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