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Le PDG de la X-TREM Factory entretiendrait une relation des plus intenses avec sa vice-présidente. On espère que ce n’est pas cette affaire qui a distrait l’ancien Phoenix de son travail et qui a entraîné un manque de sécurité lors de la dernière conférence de presse de l’entreprise où à eu lieu une explosion causant la mort d’un de ses haut-gradés...
Le mystérieux « Mist » dont l’apparition soudaine a récemment secoué la ville serait en fait une association de trolls désoeuvrés voulant profiter de la panique des récents attentats pour gagner plus de popularité sur les réseaux sociaux.
Il paraîtrait que le fondateur de la ville Edward Astrophel aurait été le descendant direct de Diogène, le philosophe grec qui vivait dans un tonneau. Incroyable !
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gentle soldier xxx imogen
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X-Trem Factory (super)
Imogen Appleton
Imogen Appleton
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X-Trem Factory (super)
MessageSujet: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptySam 29 Juil 2017 - 22:53

Imogen Appleton
she's badass with a big heart

ft. aqua ((kingdom hearts))
Nom Appleton
Prénom(s) Imogen
Âge 25 ans
Surnoms Imo ; Apple
Orientation sexuelle hétérosexuelle
Groupe super-héros
Sponsor X-Trem Factory
Super-Pseudo Topaz
Ce qu'il pense de la situation à Astrophel à son arrivée, elle trouvait ça complètement dingue. Elle savait pas si c'était le carnaval ou la guerre, savait pas si elle était censée en rire, prendre ça au sérieux, ou trouver ça carrément flippant. Puis elle a découvert qu'on finit par s'y faire, à trouver ça même légèrement lassant à la longue. Cela avait un quelque chose de grisant, à ses débuts dans la machine ; quelque chose d'exotique, à son installation à Astrophel. Puis c'était pas pour elle, tout ça, finalement. Elle préfère en chier avec des aides d'un Etat qui s'en branle des paumés, qu'être des puissants, à croire. Alors ce n'est plus qu'une obligation à présent, histoire de remplir son compte et celui de l'association.
Métier héroïne à temps partiel ++ présidente d'une association d'aide pour les jeunes en difficulté dans le quartier de Scitlali.
Nationalité américaine avec des origines italiennes
Gadget une arme en forme de clef stylisée géante, armée de plusieurs boutons apportant des fonctionnalités plus ou moins utiles. Disons que le mode taser peut être pratique, mais celui qui envoie des fusées, relativement moins...



Taille un mètre soixante-et-onze
Poids texte
Cheveux naturellement châtains clairs, désormais et depuis plusieurs années, bleus clairs
Yeux bleus. assortis à sa chevelure un peu.
Particularités physiques texte

what if I fall ?
oh, my darling, what if you fly ?
Caractère
T'es vraiment qu'une putain d'sainte, Imogen.
Qu'une putain d'conne aussi, sans doute ; ô que t'es bête, mère Imogen.
T'es une guerrière, une combattante, une survivante ; t'as les jointures abîmées et les cernes creusées. Tu vacilles pas, jamais ; ni par nécessité ni par fierté, t’es debout parce que c’est c’que t’es. Tu t’accroches à tes convictions, t’accroches à tes certitudes, t’accroches à tes ambitions, celles-là qui ne sont même pas dirigées envers ta propre personne. T’es de ces rares imbéciles qui savent pas que t’existes pour toi-même aussi, un peu ; y a pas de “je”, moi est prohibé. Tu restes debout, droite, seule sur ce champs de bataille déserté. Tu les comprends, comprends ces gens qui se détournent des autres, tu les comprends ; mais tu peux pas faire comme eux, hein, sotte Imogen. Tu les regardes ces gens, et puis tu te contentes de sourire ; tu souris souvent, Imogen, de ce sourire doux et écorché. T’es pas cassée, Imogen, pas même fêlée ; t’as rien à cacher, rien à maquiller. Tout ce que tu montres, tout ce que tu donnes, c’est toi.

T’es vraiment qu’une putain d’imbécile, Imogen.
Ô gentille Imogen, t’aimes écouter les autres. T’aimes écouter plus que tu n’aimes parler, mais tu sais faire aussi ; tu sais joliment panser avec des paroles douces comme du velour. Tu n’es que rarement tranchée derrière des idées brandies, et même tes certitudes ne sauraient te faire fermer les yeux sur autrui. Même celui qui t’est tant antagoniste ne t’es pas insupportable ; même celui que tu hais, tu veux l’écouter. Tu veux l’écouter, lui et ses propos, lui et sa vision du monde qui s’oppose tant à la tienne. Tu veux comprendre. Parce que comprendre, c’est le premier pas vers autrui, parce que c’est nécessaire pour l’Homme de converser, de tisser des liens. T’en as besoin, Imogen, besoin des autres pour exister, besoin des autres pour subsister. C’est pas la gloire que tu veux, c’pas même qu’on se souvienne de toi ; c’est vivre pour eux. Te battre pour cet autrui qu’on oublie, te battre pour ce regard paumé. Parce que t’es un soldat sous ta bannière, une combattante qui y laissera sa putain d’âme ; et qui disparaîtra sans un bruit.

Es-tu naïve, Imogen ?
De ton avis, tu ne l’es pas. T’es peut être jeune, du haut de tes vingt-cinq années, ces dernières ont tout de même commencé à t’apporter une maturité certaine. T’y crois plus depuis belle lurette, au père noël, aux trop belles promesses et aux fées. T’y crois plus depuis longtemps, aux rêves en paillettes et à ces jolies choses. T’es pas une grande rêveuse, sans doute trop terre-à-terre, sans doute trop réaliste. T’as un esprit logique, et si t’aimes les fantaisies dans le regard des plus jeunes, tu ne saurais les savourer pour toi. Tu vois les choses telles qu’elles sont, pas telles qu’elles t’épargneraient ; t’es prête à tout affronter, la vérité en tête de liste. La fuite, ça retarde l’échéance, c’est tout ; et le retard, des fois, ça fait bien plus mal.
Est-tu désillusionnée, Imogen ?
Peut être ton coeur se ferme-t-il trop facilement aux contes de fées. Peut être cherches-tu l’innocence dans les yeux de ceux que tu aides ; puisque toi n’es plus capable de ça, rêver, imaginer, fantasmer. Quelle nuance ? Quelle teinte entre le réalisme et la désillusion, entre l’acceptation et l’abandon ? La frontière est mince, et tu ne sais la lire. Alors tu t’contentes de te représenter en réaliste, en pragmatique, aussi ; t’acceptes les choses telles qu’elles sont, accordes une importance à l’empirique et ne saurait nier que certaines choses sont nécessaires.
Comme le fric.
T’es pas intéressée comme personne ; mais faut avouer qu’on vit pas sans billets verts. Alors t’as p’t’être donné un peu d’ton âme à la machine, t’as p’t’être accepté de n’être qu’un minuscule rouage pour s’nourrire, pour faire vivre ceux que l’Etat oublient volontairement - sans doute. T’es qu’un putain d’numéro qui lutte pour en préserver d’autres, et c’est sans rougir que t’es actrice plus que combattante, dans ce tour absurde. Ton combat, c’est pas derrière un masque que tu le poursuis, c’est devant ces pauvres gosses. Puisque l’on ne saurait les regarder qu’avec mépris ou pitié, toi, tu sauras les aimer.

Parce que tu les aimes, ces gosses. T’es une vraie maman, une vraie mère poule ; t’es protectrice et tendre, douce et attentive. T’as la boutade facile quand elle détend, le regard rieur quand il guérit. T’es forte Imogen, forte pour autrui, tendre pour eux. Pas forcément pour toi-même. Derrière tant de douceur, il y a la violence qui s’abat dans les sacs de frappe, cet exutoire qui te vide l’esprit, ces quelques instants où tu n’es plus qu’Imogen Appleton, qu’une femme comme une autre qui se défoule sans rien dans le crâne. Et que ça fait du bien. C’est un court instant de répit, avant de retourner au front. C’est tout c’que tu sais faire, hein, Imo ? Tout c’que tu sais faire pour vivre, alors même que t’oublies que tu es femme. T’es si jolie pourtant, quand tu prends soin de toi, quand tu te maquilles et t’habilles joliment ; mais les rues défoncées ne sont pas propices à pareil plaisir.

Tu t’aimes, Imogen ?
Tu aimes l’autre, aimes ton prochain ; mais toi ? Sans doute ces trois lettres n’ont que peu d’importance ; tu ne ressens pas indifférence à ton égard, tu n’y songes tout simplement pas.
Aimer.
Saurais-tu être raisonnable en la matière ? Toi qui l’est tant pour tant de choses, sauf quand il est question de tendre la main ; es-tu raisonnable quand tu aimes ? Les chansons le chantent souvent ; l’amour rend bête, fou, inconscient et aveugle. Toi, t’aimes à l’infini, Imogen. De cet amour que tu donnes à tous les boiteux, de cet amour que tu offres à tous ceux qui t’appellent. T’aimes ceux qui chutent, ceux qui luttent, ceux qui s’accrochent, ceux qui font des erreurs, ceux qui essaient. T’aimes ceux qui ont mal, ceux qui sourient, ceux qui sont heureux, ceux qui sont détruits. T’es qu’une putain d’sainte, Imogen ; une sacrifiée au nom d’une cause plus grande et qui s’souvient difficilement qu’elle doit respirer, elle aussi.
T’es en apné, Imogen ; et bientôt, tu manqueras d’oxygène.
Et en attendant que tu ne lâches prise, toi qui ne sait pas faire, en attendant que tu baisses les bras, toi qui ne fait qu’agir, en attendant tout cela, tu te bats.
Parce que t’es une putain d’guerrière, Imogen.
Histoire
« J'ai survécu au front, gamine. Mais pas tout le monde a eu ma chance. »

Il en parlait souvent, du front, et tu l'écoutais, silencieuse. Il te parlait des horreurs en les déguisant tout juste, comme si du haut de tes six ans, tu étais apte à recevoir le poids du monde sur tes épaules. Souvent, ta mère le lui reprochait ; « on ne dit pas des choses pareilles à une gamine ! »
On la laisse grandir, qu'elle disait.
Tu n'as pas l'impression d'avoir grandi trop vite, pourtant. C'était le cas, évidemment ; mais t'as toujours plus vu ça comme une chance qu'un handicap. Tu étais préparée jeune aux malheurs, aux souffrances ; préparée jeune aux horreurs que tu ne verrais sans doute jamais. Parce que ton père, il avait beau t'en parler, du front, il avait beau t'y préparer, à la guerre, il ne souhaitait rien de plus au monde que de t'en éloigner.
Il a fait de toi une guerrière ; fille de militaire, tu l'étais sans même faire l'armée. Ta mère s'en inquiétait, souvent ; toi l'enfant miraculée, celle qu'ils ont eu si tard, celle qu'ils pensaient ne jamais avoir. Naissance précoce d'une grossesse tardive, l'âge a pesé sur vos deux frêles entités comme une chape de plomb au dessus de vos poitrines ; mais l'une et l'autre en êtes ressorties indemnes.

Ton père était étrange ; les gens étaient souvent mal à l'aise. Tu as remarqué ça très vite. Tu admirais ton père – tu l'admires toujours, quoique tu es devenue lucide –, tu ne comprenais pas vraiment ce qui dérangeait. Lui qui gesticulait dans tous les sens, lui qui avait survécu à la guerre et en parlait souvent, lui et sa voix portante qui faisait profiter le quartier tout entier. Ta mère te disait qu'ici, en Amérique, on respectait les militaires ; tu comprenais pas bien ce qu'elle voulait dire mais tu hochais la tête. Elle avait ce sourire doux, ces petites cernes au coin des yeux qui marquaient son âge, mais cette infinie douceur qui tranchait tant avec la rudesse de son époux. Lui et sa frustration, lui et ses doutes ; il voulait te protéger du monde entier, Imogen. Et t'apprendre à te battre, t'apprendre à être grande, c'était sa façon à lui de faire. C'était sa façon de t'aimer.
Tu ne te souviens pas vraiment avoir déjà eu peur de lui. Il était impressionnant certes, mais jamais tu n'as eu peur, ou pas plus qu'un enfant n'a peur avant d'être grondé. Alors pourquoi les gens l'imaginaient violent ? Et tu t'en souviens, Imogen ; tu te souviens de ta première bagarre, alors que t'étais une gosse. Parce qu'on avait insulté ton père, tu te souviens, hein ?
Imogen, tu as l'amour dans les veines et le respect au creux de l'âme. On ne parlait pas ainsi de tes parents, et tu avais découvert ta force. Qui était sans conteste plus importante que celle de tes victimes.
Ça t'avait fait peur.
Mais pas ton père ; non, pas même cette fois-là. Il avait eu le regard si doux, ô, comme celui de ta mère. Tu te souviens de ses excuses, aussi ; de ses « ce n'est pas de ta faute », de ses bras autour de toi. Il ne t'avait pas réprimandé, il s'était inquiété. Parce que derrière la guerrière, restait la petite fille qui courait après les libellules et ramassait les oiseaux blessés pour les emmener au vétérinaire. Il l'aimait, cette enfant-là ; celle qui tendait la main, tout le temps, celle qui aidait à monter les courses des voisines, celle qui protégeait les enfants qui se faisaient embêter par les plus grands. Ouais, il l'aimait, cet ange-là. Et il avait peur, Imogen, peur de l'avoir cassé, de t'avoir cassée.
Pas que cela fut le cas.

Il devint plus doux, quoique pas moins ferme. Il voulait te rendre forte, mais sans t'abîmer. Ta mère en était rassurée ; comme si tu étais un antidote, Imogen. Tu étais celui de ton père. Lui qui était froissé, fêlé, laissé un bras en moins par la guerre et la cervelle en pelote, lui que l'on disait fou et irrécupérable.
Tu l'as sauvé, tendre Imogen, sauvé de lui-même, sauvé des flashs.
Il était ton père, juste ton père, plus un estropié aux images qui le tuaient ; il était ton père, juste ton père, et c'est tout l'amour du monde qu'il voyait dans tes grands yeux.

Lui qui t'aidait à grandir plus vite, voilà que cela devenait difficile de te laisser t'envoler. Tu te souviens des disputes, des envies de respirer, des besoin de sortir, d'évacuer. Tu te souviens des regards, au bahut ; t'étais toujours tellement plus mature que les autres gosses de ton âge. C'était handicapant, pour sûr ; t'avais du mal à t'entendre avec des gens qui n'étaient pas capable de connecter deux neurones entre eux. Pas qu'ils t'insupportaient ; mais ce ne seraient pas des amis.
Et les mégères qui parlaient de ton équilibre, là. Ha ! Mais tu étais tellement plus équilibrée que la majorité des gamins que tu voyais.
C'est aussi à cette époque que tu as commencé le bénévolat. C'est dans ce cadre que tu as réellement commencé à t'épanouir ; quand tu te donnais pour les autres. Petit à petit, tu ne vivais plus vraiment pour toi-même ; et t'y prenais goût. Aider les autres était comme de l'oxygène, pour toi.

Puis un jour, tes parents ont décidé de déménager. Et c'était pas la porte d'à côté, Astrophel. Tu ne savais pas bien pourquoi ce choix – apparemment, ton père avait trouvé un emploi sur place. T'étais encore mineure ; par conséquent, tu changeas d'État, toi aussi. Pas que cela soit trop dérangeant en soi ; il te fallut juste un temps d'adaptation.
Un énorme temps d'adaptation.
Parce qu'Astrophel, c'était vachement différent du Colorado. En fait, c'était vachement différent de tout à ton avis.
Il y avait quelque chose d'inquiétant dans le frisson qui te parcourait, quand tu t'y baladais. Un frisson d'extase devant l'inconnu, devant ce qui ressemblait à un film, mais en vrai. C'était étrange, étrange mais un peu merveilleux. C'était une ville qui ne dormait jamais.

Puis il y eût X-Trem Factory et les réseaux sociaux. Ou plutôt, les réseaux sociaux et X-Trem Factory, dans cet ordre.
Tu n'étais pas spécialement branché internet – peut-être parce que c'était un peu moins de ton âge que les plus jeunes, allez savoir –, mais tu connaissais un peu le principe de « vidéo virale », ou encore de « buzz ».
Hé bien ma chérie, tu l'as fait, le buzz.
Tu l'avouerais difficilement, mais il y avait de quoi. Après tout, pour une fille sans pouvoir, désarmer un braqueur de banque et retourner son arme contre lui, le tout en étant filmé, ça a tendance a marquer les esprits. On ne voit ça que dans les films, après tout.
Mais tu répètes souvent que t'as eu de la chance ; ceux qui jouent les héros en ont rarement, dans pareilles circonstances. T'as été idiote, pas héroïque.
Et quelques jours plus tard, t'avais un coup de file pour un nouveau boulot.
Sincèrement, t'aurais jamais cru ça si facile.
De rentrer dans la machine.

T'as été une gosse, Imogen ; t'as trouvé ça marrant, honnêtement. Malgré ton éducation, tes vingt ans faisaient tout de même de toi une enfant, une adolescente, sur certains côtés. C'est en voyant le côté sombre de la carte postale, que tu pris en maturité. Quand tu compris que ce n'était pas un jeu, que c'était sans doute un peu pervers, que tout n'était que mascarade et qu'ici bas, on crevait encore de faim.
On crevait tout court.
C'est au cours d'une mission dans Scitlali que tu rencontras Anton. C'était un gamin, juste un gamin, qu'un pauvre gamin.
Qu'un pauvre gamin qui t'ouvrit les yeux.
Qu'un pauvre gamin qui te donna une cause.
Anton, pauvre gosse camé qui mourrait seul, pauvre gosse que tu pourrais pas sauver.
Tu ne voulais pas d'autres Anton, Imogen ; tu voulais les sauver, ces gamins que le monde oubliait, ces gamins que le monde piétinait.
Tu t'es sentie exister, pour la première fois.

Alors tu serais une héroïne, celle que l'on connaissait de visu, Topaz et son cœur d'or, Topaz et son aura de femme forte. Alors tu serais une héroïne, celle que l'on voit souvent, Imogen, et sa main tendu, Imogen et son aura de mère présente quoiqu'il arrive.
Et tu te battras pour eux.


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maman sadique
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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptySam 29 Juil 2017 - 22:54

tu le sais déjà.
mais je t’aime.
ce perso est merveilleux.
ce perso est parfait.
ce perso est wsjfvhdwkjbvjdx.
CE PERSO EST A MWA.
CETTE FICHE EST A MWA.

jlm.
jtm.
cey la perfection.
*rouuuuule*
*pousse des petits cris chelou*
*convulse*

Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart  Heart

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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptySam 29 Juil 2017 - 22:56

LOVE LOVE LOVE ♥
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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptySam 29 Juil 2017 - 23:07

t bel madam (edit incoming)
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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptySam 29 Juil 2017 - 23:09

REBIENVENUE <3

Cette fiche envoie du pâté uwu

Aqua. Juste. Aqua.

Et le caractère gngngngnggn je like

Bon courage pour l'histoire et la validation 8D

LOVE <3
Mini-BN
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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptySam 29 Juil 2017 - 23:33

AAAAAAH
Édit à venir
Amour ♥
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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptyDim 30 Juil 2017 - 6:31

fejijrijgijiojioejzofe.
AYE. TU AS REMPORTE LA GUERRE ET LE RUSH.
TU L'AS.
SAVOURE.

Tu sais combien j'aime la référence du ndf.

SA MAMAN LE PAPIER PEINT LE CARA FJIRJGITJI.
FEJUEHG.

KEUR.
Citoyens
C.A. "Nina" Van der Rohe
C.A.
https://astrophelcity.forumactif.org/t560-normal-is-a-myth-ninahttps://astrophelcity.forumactif.org/t933-and-when-you-said-hi-i-forgot-my-damn-name-ninahttps://astrophelcity.forumactif.org/t851-history-has-its-eyes-on-you-rps
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Citoyens
MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptyDim 30 Juil 2017 - 11:56

AJOIDAZJDAZODJ
AQUA
IMOGEN
XTF.

J'ADORE J'ADHERE JE VALIDE.
Invité
Anonymous
Invité
MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptyDim 30 Juil 2017 - 16:21

REBIENVENUE ♥️♥️♥️
a q u a Love
(j'adore son gadget)
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Imogen Appleton
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MessageSujet: Re: gentle soldier xxx imogen   gentle soldier xxx imogen EmptyLun 31 Juil 2017 - 11:53

((seth)) + iudfhyuidhfuisdf je t'aime je iudfhisdf ;www; je suis trop contente que tu l'aimes imo u kno dat gngngngn ;w; Heart ily. rlly. plein de love sur toi. gngngngn. en espérant que son histoire te plaise aussi blblbl ;v; Heart

((july)) + LOVE LOVE LOVE Heart (:

((meera)) + é toi t bone (l'edit viendra jamaiiis/pan)(jtm hihi Heart )

((shawn)) + MERCI Heart gngngn merciiiiii !! qwq oui. AQUA. A Q U A . MY BABE. /OUT tout plein de love sur toi gngngn >www<

((heileen)) + BEEEEEE ENCORE UN EDIT QUI POPERA JAMAIIIS/PAN je t'aime. fort. u kno hihihi. 8)))

((serah)) + OUI J'AI VAINCU LE TERRIBLE RUUUSH /dies & je savoure tellement ahhhh imo bb ayé qwwwq oui. cette ref. hahaha. /dies fallait que j'en fasse une un jour, de ref à ce truc huuuh ;w; IDYHSIUDQDS JE WALA QWQ (je t'aime.)

((nina)) + HIHIHI JE SUIS FIDELE A XTF TAVU/DIES AQUAAAA EST PARFAITE. WALA. je suis contente que tu valides. 8) /OUT Heart

((nyx)) + MERCIIII Heart oui. son gadget est fabuleux, hein. /dies (j'aime quand les gens fangirlisent sur aqua, j'la trouve pas assez aimée qwq/porte)(love)

& J'AI FINIIIIII ! love on ya Heart
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