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Le PDG de la X-TREM Factory entretiendrait une relation des plus intenses avec sa vice-présidente. On espère que ce n’est pas cette affaire qui a distrait l’ancien Phoenix de son travail et qui a entraîné un manque de sécurité lors de la dernière conférence de presse de l’entreprise où à eu lieu une explosion causant la mort d’un de ses haut-gradés...
Le mystérieux « Mist » dont l’apparition soudaine a récemment secoué la ville serait en fait une association de trolls désoeuvrés voulant profiter de la panique des récents attentats pour gagner plus de popularité sur les réseaux sociaux.
Il paraîtrait que le fondateur de la ville Edward Astrophel aurait été le descendant direct de Diogène, le philosophe grec qui vivait dans un tonneau. Incroyable !
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dress me up and watch me die // orazio
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Mist
Rem Cortesi
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Mist
MessageSujet: dress me up and watch me die // orazio   dress me up and watch me die // orazio EmptyMar 18 Déc 2018 - 23:04


All my life they let me know how far I would not go, but inside the beast still grows, waiting, chewing through the ropes.

trust me, i've got a plan, when the lights go off you'll understand

Lentement, tout lui revient.

Pendant un bref instant, il ne sait plus où il est, qui il est – ne parvient plus à en faire sens. Son esprit court-circuite, tout n'est que images imprécises et flashs de lumière et couleur bien, bien trop vifs pour y voir quelque chose.

Il ferme les yeux. Les rouvre.

Et le monde autour de lui se redessine. Retrouve ses couleurs, ses contours. Peu à peu, le martèlement dans sa tête s'affaiblit, à l'instar des pulsations de son cœur, qui résonnent dans tout son être ; à l'instar de la respiration haletante, saccadée qui agite son torse. Il a l'impression de s'être noyé (ou de l'avoir été), d'avoir coulé loin, loin, au plus profond des abysses – mais l'air dans ses poumons est trop glacé pour s'y méprendre.

Une pause. Un instant, aussi fugace qu'éternel.

Il inspire. Expire.

Enfin, quelque chose en lui s'éveille—se réveille—, alors que le temps reprend son cours – que sa vie reprend un sens. L'espèce de voile, de brume qui l'habitait l'a désormais quitté, et tout, tout en lui lui paraît tellement intense, tellement réel. Chacune de ses sensations lui parait décuplée – et chacune d'entre elles le dévore. Ses membres se crispent. Tandis que les pièces du puzzle paraissent revenir en place, il sentirait presque le moindre de ses nerfs hurler, sentirait presque son sang bouillonner dans ses veines, fuser jusqu'au bout de ses doigts, brûler l'intégralité de son corps.

Il le sent, tout aussi distinctement que cet espèce de liquide visqueux qui ruisselle le long de son visage.

Pause.

Il comprend, maintenant.

C'est étrange. Il n'arrive toujours pas à se faire à ce ressenti, malgré l'avoir vécu tellement de fois. Il ne parvient toujours pas à réaliser quand sa conscience, en un claquement de doigts, l'abandonne et le laisse sombrer dans les ténèbres.

Il prend un moment pour revenir à la réalité.

Ses yeux se perdent dans l'obscurité qui l'entoure, là où même la lune trônant au dessus de lui ne lui ferait pas même grâce du moins de ses pâles éclats. Quelqu'un comme lui ne le mérite pas. Mais il parvient, en se concentrant, à discerner une silhouette, à en retracer les traits. Une simple addition lui suffit pour comprendre ce qu'il s'est passé, pendant que lui—Rem—est tombé dans la plus profonde des torpeurs. Le sang répandu au sol et le corps inerte à ses pieds ne lui autorisent aucune méprise. Il déglutit, s'agenouille auprès de ce qui semblerait être sa victime – et d'une de ses mains gantées, vient faire une simple vérification.

Le pouls est faible, mais présent.

Il n'a pas fait d'erreur cette fois-ci. Cette personne, peu importe qui elle est (il ne s'en rappelle pas, de toute façon) est simplement inconsciente. En plissant les yeux, il remarque un nez cassé, et comprend mieux la présence de sang sur son visage. Il exhale, soulagé.

Une main vient se poser sur son épaule – et il fait volte-face, la peur le saisissant par les tripes – avant de se retrouver face à face avec quelqu'un qu'il connait bien. Quelqu'un de qui il n'a pas à avoir peur. Il lui sourit, un peu maladroitement.

Tant qu'il est avec lui, il n'a rien à craindre, Rem.

« Zio... depuis combien de temps est-ce que je suis... parti ? »
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Orazio Cortesi
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MessageSujet: Re: dress me up and watch me die // orazio   dress me up and watch me die // orazio EmptyJeu 20 Déc 2018 - 11:44


dress me up and watch me die
rem
Il a toujours été un si bon garçon.
Si impressionnant.
Si satisfaisant.
Il a toujours si bien obéit.
Si puissant.
Si corruptible.

Et à chaque fois, Orazio ne peut pas empêcher les frissons qui l’attrape.

Il est probablement tout aussi malade que les autres, tout aussi malade que ceux qu’il brise. Il est le patient 0, l’origine de l’infection. On devrait l’interner, l’empêcher de répandre sa folie comme une maladie mais oh, Orazio sait. Orazio sait à quel point il est dérangé.

Et il adore chaque partie de son étrange cerveau, de sa malsaine addiction.

Il écoute, avec ce plaisir qui le prend dans les tripes, le bruit des poings qui s’écrasent sur le corps flasque de leur proie de ce soir. Et il aime ça, il aime le voir se déchaîner ainsi et frapper, frapper, frapper.

Il est si fier. Sa si jolie création. Si brisée.

Sa respiration se fait un peu saccadée, comme à chaque fois. Ses yeux s’écarquille un petit peu, comme à chaque fois. Son sourire s’élargit, comme à chaque fois. La fumée de sa cigarette l’entoure, comme à chaque fois.

Et quelque part, ça lui rappelle pourquoi il est pas resté ici au début, pourquoi il est retourné à New York, au delà des affaires et de la politique interne de la famiglia.

(Orazio est probablement tout aussi addict que Rem.)

Les poings arrêtent leur frénétique valse. La victime a depuis bien longtemps fermé l’œil, réaction du lâche face à la douleur qu’il ressent. Son Rem n’aurait jamais été si faible.

Les yeux du mafieux se plissent alors que son jouet halète. Inspire, expire, inspire, expire. Orazio ne bouge pas, il se contente de l’observer. De se régaler de la panique dans ces yeux, de la détresse qu’il exprime.

Jusqu’à qu’il le voit et là, là tout ira bien à nouveau.

Mais Orazio attend, il reste dans l’ombre. Il observe comment Rem se reprend, toujours un peu tremblant. Il observe quand il prend le pouls de celui qui a cru qu’il pourrait s’opposer à eux.

Orazio déglutit. Le délicieux bruit du combat résonne encore dans ses oreilles. La plus douce mélodie qu’il soit.

Il jette sa cigarette sur le sol et avec l’aisance de l’habitué, l’écrase sous son talon. Il s’avance ensuite vers son Rem et pose une main sur son épaule.

Il se délecte du soulagement dans ces yeux, de l’admiration écrasante qu’il y lit. Du besoin. Rem lui pose une question, doucement, maladroitement, pas encore complètement là.

(mais est-il seulement entier ?)

La main d’Orazio se décale, de son épaule à sa joue qu’il caresse doucement. Sa voix est mielleuse quand il parle, pleine de caresses, de félicitation.

- Tu t’es amélioré Rem. Je suis si fier de toi.

Si fier de le voir se perdre dans sa colère et sa haine et ses émotions. C’est si facilement de voir les autres perdre le contrôle et tomber, tomber, tomber.

Il attrape un mouchoir blanc dans une de ses poches et le salit du sang qui ruisselle encore un peu sur le visage de son jouet.

- Pas si longtemps.

Ne t’en fait pas. Tout va bien, tout va si bien. Sa voix cajole, dorlote. Il murmure des éloges tout en continuant de nettoyer le visage de celui qu’il a si bien détruit. Vraiment, Rem est un chef d’œuvre, son plus beau travail, son plus grand accomplissement.

- Comment te sens-tu ?

Ça fait si longtemps qu’il n’a pas pu être là pour le voir se déchaîner de la sorte, de le voir partir si loin de lui, de le voir se détruire.

De le voir détruire.
dress me up and watch me die // orazio
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